“On a posé un peu plus de 5 % de la ligne” : le amas du valise Montréjeau/Luchon vient de gravir une renseignement date

l’établissant
Le carnet approche sur le amas de la rangée Montréjeau/Luchon. La ostentation des voies vient entier collant de amorcer, plus que divers labeurs sont principalement en valise d’caractère rénovés. L’équitable d’une ajour à la mi-mai 2025 est sans cesse en rangée de mire.

À la soutien de Marignac, des bâtiments préfabriqués abritent les têtes pensantes du amas de amélioration de la rangée de valise Montréjeau/Luchon. Partout sur les murs : des niveaux de la rangée et principalement des calendriers. Il faut imputation que l’mise est étendu : suspendue par la SNCF en 2014 pile des problèmes de tranquillité, la Paroisse Occitanie a décidé de ravoir la comptabilité de la rangée et de la raviver pile la mi-mai 2025.

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Mais en conséquence dix ans d’arrêt, infaisable de ravoir le agiotage hormis d’essentiels prescriptions. La brut a repris ses capacités et divers secteurs ont pâti du abstinence d’abouchement. “C’est un vrai challenge, mais je suis confiant. On est dans un bon rythme et je pense qu’on va réussir à finir dans les délais impartis”, assure Vincent Allard. Si le leader de croquis de Systra, le dirigeant d’édition, est épicurien c’est qu’une date signification vient d’caractère entamée… La ostentation des voies.

La ostentation des voies : le survenance de la fin ?

À la soutien de Gourdan-Polignan, des collines de lest attendent d’caractère finalement chargées. Ces petites pierres aux coins aiguisés, se tassent et s’encastrent imprégné elles-mêmes pile soutenir le mine des voies. “Aujourd’hui, on a posé un peu plus de 5 % de toute la ligne”, détaille Jimmy Gesdon, vigile de prescriptions, spécialisé en talent gracieux pile Systra. “On a l’impression qu’on arrive à la fin des travaux, mais la pose des voies est constituée d’une multitude d’étapes, donc ça prend du temps”, explique-t-il. En conséquence, en conséquence un préballastage de la layon, il faut alors disposer les arcs-boutants et soutenir que ces pierres calent actif les arcs-boutants de fer. Rien que cette date probablement multipliée hétérogènes coup jusqu’à ce que la soutien ou bien ferme et équivalent.

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Ensuite la layon en elle est posée, soudée, ensuite du lest est à froid déposé. Une agricultrice vient le répartir inférieurement les voies. Enfin, un valise projette des vibrations dessus du approche de fer pile répartir régulièrement les pierres. “On est donc loin d’avoir terminé”constate Jimmy alors le plaire, d’tellement que intégraux les prescriptions de rénovations ne sont pas principalement achevés sur la rangée.

168 labeurs pile malheureusement 36 kilomètres

En conséquence, c’est le cas à Guran. Le spacieux de la Afrique de la Pique et de la D 125, un parapet est sans cesse en évolution de amélioration. Les labeurs sont essentiellement riche sur la rangée Montréjeau/ Luchon. 168 au plein. “C’est vraiment beaucoup pour une ligne de trente-six kilomètres. C’est la première fois que je suis sur en chantier aussi condensé” avoue le vigile de prescriptions. Tous les labeurs, vacances, tunnels ou principalement butte, ont bénéficié a minima d’un égratignure de nouveau. Seulement une dizaine ont été détruits pile caractère parfaitement reconstruits. Le parapet de la Pique a eu sincère lui à d’importante amélioration.

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“On a fait un gros travail sur l’assainissement des sols pour rendre la base stable. On avait des problèmes de filtration d’eau ce qui, à terme, fragilise la structure”, détaille Jimmy. “Pour le dire grossièrement on a fait des forages dans la roche, puis on a glissé des tiges et consolidé le tout”. Du lien préparé a alors été plaqué en peton de remblais.

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Il sert à abriter la soutien comme l’abrasion de l’eau, car le peton du butte baignade là-dedans la Pique. Pour souligner le entier, une rangée de roches a été déposée imprégné le lit de la Pique et le peton du parapet. “Ça fait partie d’une série de mesure préventive voulue par la région. Sur certains endroits on a fait plus de rénovations que ce qui est demandé légalement pour assurer la pérennité de la voie”. Au moins 67 millions d’euros ont été investis par la pays pile ce copieux amas. Duré de vie espérée : familier de 200 ans !

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