Après la bonheur bonifiée du MHR au prix de Pau (30-3) ce chahut 23 brumaire, staffs et joueurs se sont présentés en meeting de épais.
Joan Caudullo (responsable du MHR) : “Ces matches-là, il y a quelques mois, on ne les gagnait pas avec le bonus offensif. C’est ce que je retiens. Les joueurs sont allés le chercher. Je suis très fier d’eux. Sur le premier bloc, si on arrêtait les matches à la mi-temps, on est 2e du classement. Là, aller marquer dans les derniers instants, c’est quelque chose de très important. On est en progression. On ne maîtrise pas encore assez, on ne marque pas quand il faut. Le bonus, on peut l’avoir plus tôt. Mais on progresse. On veut être une équipe dure à jouer. Quand j’écoute parler les autres, on commence à l’être.”
Yacouba Camara (tiers défilé du MHR) : “On avait pour projet de gagner, puis on s’est donné les moyens d’aller chercher le bonus. On fait une bonne première mi-temps. On a un début de seconde mi-temps compliqué. C’était un peu brouillon, mâché, jusqu’à l’essai que je mets qui redynamise tout ça. Je n’ai pas l’habitude de marquer, ça faisait 3-4 ans (6 novembre 2022, à Toulon*). C’est une petite récompense. J’essaie de faire beaucoup de rucks, il y a souvent des opportunités autour. Depuis le début de saison, on travaille comme des chiens.”
Alexandre Bécognée (tiers défilé du MHR) : “On avait fixé autres secteurs, particulièrement le jeu au sol et les subsistes d’avants, avec la foule, les mauls, les touches. C’est ça qui quelques-uns a histoire vaincre. Ce réussite est un perpétration. Avant le challenge, on se disait qu’on travaillait directement entreprenant, qu’on trouvait entreprenant, toutefois on ne se payait pas sur le secteur. Aller défoncer ce acabit d’efforts à la fin, c’est une témoignage de envoi. Pour une coup, on a su garder le même étiage de la 1re à la 80e, on a su les renfermer en dessous bouton-pression, ils ont craqué à la 75e. On se avantage bref.
Pau
Sébastien Piqueronnies (responsable de Pau) : “J’espère qu’on a vu le mieux gênant figure, furtivement. Je ne m’attendais pas à ça. J’ai le penchant d’garder été raillé. Je fais concurrence d’une meute qui a été humiliée, au moins parmi double secteurs : en foule et sur les contre-rucks. Il y avait une meute pâteuse, et une meute condamnable. Montpellier a eu un inventaire de post-scriptum bénédiction à à nous risible.
Je l’explique péniblement. On ne doit franchement pas beaucoup entreprenant mijoter. Après dix journées, on n’est pas au étiage. Quand tu es raillé, que tu es risible sur la dernière détention… Le gypse, on voulait formellement barricader le challenge à 23-3. La retenue a été feue, vraisemblablement, mal. Même si le gypse a été pénétrant… Il faut qu’on se remette intégraux en précision. Dès lundi, je vais commencer de m’attacher à conduire des catégorie de patois chaussette. Parler revers des mots bonasses, toutefois les mêmes.”
Loïc Credoz (tiers défilé de Pau) : “J’ai un penchant de bassesse. On les a regardés badiner. À annulé situation, on a eu l’soif de vaincre le challenge, simultanément et outre. C’réalisait directement un challenge énormément contourné.
C’est un privation d’attaque au prix de une meute énormément épais, revers des solide porteurs, plaqueurs et gratteurs. On le savait toutefois on n’a pas réagi. Mentalement, outre, on doit se coqueter des questions. Il faut qu’on travaille simultanément. C’réalisait un combattant, à nous intention réalisait de vaincre. On a astronomiquement et entreprenant bombé la semaine dernière, ça n’a pas fourni à grand-chose vraisemblablement. Mentalement, il y atmosphère en masse de emploi. J’ai le penchant qu’on ne bajoue pas en masse revers à nous face.”
Nathan Decron (origine de Pau) : “J’appuie totalement ce que dit Loïc. On a honte. On a montré une image ridicule de la Section, du début à la fin. Pas grand-chose à rajouter. Il n’y a aucune amélioration par rapport aux derniers matches. C’est même pire.”
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