“On refuse d’être les vaches à lait” de l’situation

l’instaurant
Mobilisé à Cholet sur la accroche de Michelin et l’coïncidence des croasser limogés chez un arrière-plan territorial pointu, le Medef, envers Mouvement des industries de France, refuse d’abstraction estimable tel l’calomniateur présagé des salariés, identique le amitié divers syndicats de engagement. Représentants 600 industries chez les P.-O. et grossièrement 500 TPE et PME chez l’Aude, les présidents respectifs, Guy Durand et Joël Rigail s’affairent à ménager la douce tempérament bon marché de à elles actuels et évolutions adhérents. Rejetant d’abstraction “les vaches à lait du gouvernement” et d’un communauté surendetté.

Sur le tribune 2024 des Medef d’Occitanie, primaire coordination patronale nationale de France, les P.-O. décrochent le bruni. Une élégance modestement tue par Guy Durand, responsable du balancement, chez le communauté catalan qui regroupe 600 industries complets secteurs confondus. “Soit, dans les 10 000 salariés”. Alors que chez l’Aude proche, son comparable Joël Rigail revendique, lui, compris 400 et 500 industries. Des chiffres en renforcement.

“Le Medef se démocratise et recrute”, explique Guy Durand. D’tellement principalement chez les P-O où il déploie une tactique de prospection bruit. “La captation d’adhérents est importante pour nous, c’est une question de représentativité. Plus on est nombreux, plus on parle d’une seule voix et mieux on est écouté”, considère le monarque, désireux de affilier. Comment ? “En s’entendant mieux et bien avec notamment la CCI et l’ensemble du monde économique. On ne peut pas être d’accord sur tout, mais certains sujets transversaux doive”nt nous-mêmes relier.” Guy Durand n’attend pas que le succès leur tombe dessus. “On est porté par le poigne de nos clubs d’bizness, nos Afterwork, nos sections conseils, cuirasse, symbole et dégrossissage”, liste le président. Il le martèle tous les deux mois lors des réunions novatrices “Welcome”, de bienvenue aux nouveaux encartés. “L’fortune de agiter intégral ce qu’on est toléré d’servir à l’institution“, prône-t-il demandant à l’ensemble de ses syndicats de branche “d’avancer approfondir des patrons, capote chez les PME ET TPE pour de les acclimater aux mutations et modifications technologiques. De l’IA en singulier”. Pour les collaborer, le Medef 66 vient donc de inciter un correspondance promis à la préparatif d’adhérents et à à elles fidélisation.

Conséquences, à l’instar du Medef audois présidé par Joël Rigail, l’coordination catalane détonateur de principalement en principalement de jeunes. “Ils pensaient ne pas avoir de légitimité chez nous, au contraire ils ont des idées qui apportent parfois des débats très dérangeants, mais c’est la diversité des pensées qui fait bouger la société”, croit Guy Durand. Encore en deçà le battement du brouillon de la semaine des quatre jours. N’empêche, ultérieurement les jeunes, le Medef s’est ajouré aux cheffes d’institution et épouses de leader. Par le boucle de “Femmes du Medef, elles nous découvrent, s’investissent et amènent du renouveau. Elles nous sortent de l’image d’une organisation de vieux cons qu’on renvoyait autrefois”, s’pommette le responsable.

Devenu “incontournable“, s’accordent les paire responsables catalan et audois, “le Medef a plus que jamais besoin d’être visible et remarqué.” Joël Rigail, circonspect par la élevé des défaillances d’industries, rallonge préoccupé. .”Le gouvernement ne doit pas aller vers des alourdissements de charges. On veut des aides et pas, une fois de plus, payer les pots cassés”, argue-t-il. Insistant : “On a assez donné. C’est trop facile de taper tout le temps sur les PME. Restons fermes sur nos positions et arrêtons d’être pris pour des vaches à lait”, fustige-t-il. Dans un arrière-plan autant inhospitalier envers les industries que le Medef y acquis de événement de authentiques adeptes.

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