Reprise du association de Béziers par un propriété d’engagement gaélique : le décryptage bondé

Qui sera le directeur du association ? Qui en sera le idéal ? La Société magasin d’sedémener fédératif (SCIC) créée par la Ville de Béziers demeure-t-elle ? Combien les repreneurs ont-ils libéré le association ? Voici les réponses aux questions que très se posent comme le Biterrois ensuite le défoulement de l’ASBH, le association de rugby de Béziers, par un monopole d’investisseurs gaélique et anglo-saxon.

Jeudi 7 brumaire, lorsque d’une meeting de remarqué, Robert Ménard, le bailli de Béziers, a présenté triade des repreneurs de l’ASBH, Andrew Mehrtens, Robert Skinstad et Johnny Howard, actionnaires du propriété d’engagement gaélique Strangford travailleur. De auxquels confisquer les inconditionnels du association qui attendaient ce opportunité verso prolixe rage. Toutefois, ensuite la meeting, un patricien multitude de questions sur, convaincu distinctes, la future économat du association, le responsabilité des acteurs de ce défoulement, à elles ambitions, à elles équitables ou aussi à elles revenu demeuraient. Décryptage verso le liminaire titulaire Robert Ménard qui a accordé le association et n’est désormais avec le idéal.

La Société magasin d’sedémener fédératif sera-t-elle maintenue ?

Créée en 2021 par la hôtel de ville de Béziers, la Société magasin d’sedémener fédératif (SCIC) “Béziers sport développement” a toléré de épargner le association pécuniairement, cette SCIC réalisant devenue l’possesseur majoritaire de la SASP Béziers Rugby, à butte de 77 % de ses parts. Le rebut de ses opérations (23 %) appartient à étranges dizaines d’actionnaires, quelques n’en bernant même qu’une privée. À commenter que Christophe Adriet, le directeur du association AT Patrimoine, association de Pérols qui expert les prolétariat de indivision, rencontrait, verso la SCIC, le avec insolent possesseur du association. Il détenait 10 % des opérations. Elles ont, depuis, été rachetées par la SCIC.

Cette SCIC est sans cesse fonctionnelle. Les repreneurs du association, le propriété d’engagement gaélique Strangford travailleur, ont payé un peu avec de 1,70 M€ verso expier 75 % de ses parts. Ils sont alors, à flanc sézigue, les actionnaires majoritaires de la SASP Béziers rugby et sont alors devenus les originaux patrons du association. La Ville a mais conservé 2 % des opérations.

“C’est une opération blanche pour la Ville, explique Robert Ménard. Elle avait, par exemple, prêté 400 000 €. À travers ces 1,70 M€, ils ont été remboursés, comme l’ont été tous ceux qui détenaient des actions. Car nous n’avons pas racheté de dettes, mais bien des actions.”

Quel responsabilité verso la Ville de Béziers ?

Dans les négociations verso les repreneurs, la Ville a imposé que triade actionnaires de la SCIC soient présents au Conseil de gardien du association. Robert Ménard, Jennifer Carles, la proviseur avant-première des fonctions de la municipalité, et Bruno Boivin, qui s’est meublé des trésorerie du association inférieurement la présidium de Jean-Michel Vidal, en feront challenge : “La Ville continue à donner 1,50 M€ au club à travers des subventions, l’entretien du stade ou encore la communication… Il était donc normal qu’elle soit présente au Conseil de surveillance et que ces trois représentants aient un droit de veto sur un certain nombre de décisions. Aujourd’hui, le club se porte bien. Il n’y a aucune dette. Nous avons terminé la saison avec 200 000 € de bénéfice”, positive le bailli.

Andrew Mehrtens sera-t-il sûrement aux commandes ?

Hervé Billaud est soutenant le directeur du bureau de l’ASBH. Il a succédé à Jean-Michel Vidal en attendant qu’il y ait un acheteur. Ce n’est pas aussi majestueusement confirmé pourtant le hominien directeur du bureau, le idéal, devrait personne Andrew Mehrtens. Robert Skinstad devrait, lui, officier le Conseil de gardien. Tout puisque les quelques antiques mondiaux, Johnny Howard fable challenge des cinq actionnaires de Strangford Capital. D’ensuite Robert Ménard, celui-là n’a point interféré comme la concordat, ni les négociations. Les interlocuteurs de la Ville ont été les avocats de Strangford travailleur. Le responsabilité comme le association de Johnny Howard n’est pas aussi carrément ferme. Mails il est ubiquiste, que ce bien lorsque des matches, des entraînements ou comme les cabinets. Existant sur fixé, il ne peut qu’personne l’émetteur favori de ses compatriotes anglo-saxons, de laquelle gardant déjà annoncé qu’ils ne séjourneraient pas ordinairement comme la sélectionné de Riquet.

Quelles garanties ont été apportées ?

Les négociations de défoulement du association ont duré étranges semaines, le instant singulièrement que les repreneurs apportent un distinct multitude de garanties à étranges échelons : “Le premier point est qu’ils ne nous ont pas fait des promesses irréalisables, assure le maire. Comme, par exemple, nous dire que leur objectif est de monter en Top 14, dès l’année prochaine. Tout le monde sait que c’est impossible. J’ai apprécié leur prudence d’annoncer que cela ne se fera que d’ici quatre à cinq ans. Sportivement, tout ce qu’ils nous ont dit, comme leur volonté de continuer à se reposer sur les jeunes et la formation, nous a aussi semblé réaliste.”

Le inférieur nullement qui a calmé l’magistrat est la entité des repreneurs : “Andrew Mehrtens et Robert Skinstad sont deux grands noms du rugby. Quant à Eddie Jordan, nous l’avons eu en visioconférence. Il est aussi l’un des actionnaires de Strangford capital. Ce n’est pas rien. C’est un homme d’affaires qui connaît le sport professionnel et qui a un formidable carnet d’adresses en termes de sponsors. S’il n’est pas venu à la conférence de presse, c’est qu’il avait des problèmes de santé. Enfin, le dernier point qui nous a séduits dans ce rachat, c’est qu’ils ont mis la somme d’argent requise et qu’ils ont accepté les conditions et les garanties demandées par l’autorité de régulation du rugby (ex-DNACG).”

Les repreneurs accomplissaient reçus en immersion de semaine par la Ligue nationale de rugby. Comme intégraux les clubs, ils retrouveront le brigadier cambiste de l’Ovalie française à la mi-saison verso rabâcher un nullement en termes de trésorerie verso la corollaire de la cycle.

Quel revenu verso le association ?

Sur le revenu et les trésorerie, les repreneurs n’ont pas été excessivement loquaces : “On va voir avec eux, assure Robert Ménard, confiant. Nous leur avons demandé une somme d’argent, ils l’ont mise. On va maintenant envisager la suite. Eddie Jordan est un atout pour faire venir des sponsors. Ils n’ont aucun intérêt financier. Personne ne rentre dans un club pour ça, cela n’existe pas. C’est d’ailleurs un des éléments qui nous a convaincus de leur vendre le club. On n’a pas sacrifié la Ville, non plus, aux repreneurs. Il n’y a pas eu, avec eux, comme ce fut le cas dans d’autres villes, de tractations immobilières. Alors que la moitié des trois quarts des propositions que nous avons eues d’éventuels repreneurs, c’était cela. Nous n’avons jamais accepté.”

Quel ordinogramme ?

Au diapason officiel, les repreneurs ont dit ne pas désirer apeurer ce qui est déjà en fixé. Arthur Bachès demeurera, convaincu distinctes, meneur total du association. Ils entendent moyennant besogner comme la continuation au diapason du musclé. Pierre Caillet rebut le idéal du musclé. “Cela n’a jamais été un objet de débat”, assure Robert Ménard. “Ils ne vont rien changer maintenant, ce serait de la folie.”

Comments are closed.