“Rituels de prières dans les vestiaires” : la région retire l’licence d’un dancing de football imminent de Montpellier dans “séparatisme”

Le éparque de l’Hérault a demandé à la Association française de football de exécuter une ressemblance pension à l’opposé de l’Avenir Sportif Juvignac. Celle-ci lui empêche toute aide à une défi banale.

“Des rituels de prières, accompagnés de musiques religieuses diffusées sur les téléphones portables par les joueurs, dans les vestiaires à l’avant-match, ont été relevés durant une période”, indique la région de l’Hérault dans aggraver sa caractérisation de supprimer l’licence de l’Avenir Sportif Juvignac, le dancing de football de cette circonscription située au nord-ouest de Montpellier.

Entraînements “aménagés voire annulés” suspendant le Ramadan

“Des festivités religieuses (Ramadan) se sont également immiscées dans le fonctionnement du club de football, engendrant par exemple l’aménagement voire l’annulation d’entraînements. Certaines joueuses de football ont par ailleurs porté le voile sur des temps d’avant ou d’après-match”, prescrit aussi la région, en fréquentation pour cet arrêté préfectoral “basé sur des faits de séparatisme, auxquels se sont ajoutés des manquements à la vie démocratique au sein de l’association AS Juvignac.”

“À la demande expresse du préfet de l’Hérault, la Fédération française de football a pris une mesure conservatoire à l’encontre du club empêchant toute participation à une compétition officielle. Le maire de Juvignac a depuis réattribué les équipements sportifs municipaux à une autre association”, ajoutent les cénozoïque de l’Détail relativement à cette caractérisation, domination par le éparque François-Xavier Lauch le 19 juillet terminal.

“Mesure de mise hors compétition”

Sur le contrée internet du District de l’Hérault de football, des détails contraventions de la charge des règlements et affaire font relevé des discussion non joués ces dernières semaines par l’groupe 1 de l’AS Juvignac, et du atout du épreuve bénéficiant aux équipes adverses. “Par une décision en date du 24 octobre 2024, la commission fédérale de discipline a décidé, à la suite d’un signalement par le SDJES (service départemental à la jeunesse, à l’engagement et aux sports, NDLR), de mettre en instruction le dossier concernant le club de l’AS Juvignac et de prendre une mesure de mise hors compétition à titre conservatoire de toutes les équipes du club jusqu’à décision à intervenir.” Ces revues rappellent que cette caractérisation “est susceptible d’appel devant la commission générale d’appel du District de l’Hérault de football.”

Présidente de l’AS Juvignac depuis le 29 ventôse 2024, Cécile Ikpefan indique n’détenir “rien à dire sur le sujet”. “C’est en instruction, nous n’avons pas de retour pour l’instant et il n’y a pas de conséquences définitives”. Le substitut de Juvignac, Jean-Luc Savy, assuré dans sa segment qu’il n’avait “pas connaissance de ces faits, sinon nous aurions agi”. Des faits sur laquelle il a été interrogé “avant l’été”, pour son adjointe déléguée au exercice, Marie-Delphine Parpillon, là-dedans le enveloppe de l’forage manigance par la Direction fraîcheur et exercice. “Nous n’avons pas eu d’éléments à leur apporter.”

Concernant les “manquements à la vie démocratique au sein de l’association”, pointés par la région, l’adjointe au exercice de Juvignac indiquait à Midi Libre, au traitement de ventôse terminal : “Nous avons constaté une fragilité administrative. L’assemblée générale a été réalisée sans vote, ni bilan.” Peu de époque alors, le dancing avait reconstitué son ordinogramme.

Tapis de imploration là-dedans le voisin du dancing : un antérieur au Sète Olympique Football Club

En avril terminal, le Sète Olympique Football Club avait été agrafé à armes pension de toute défi banale par la Association française de football, consécutivement d’un lien qui pointait des comportements communautaristes et bigot au giron du dancing, et à la caractérisation du éparque de l’Hérault de lui supprimer son licence d’réunion sportive. Ce terminal entendait, par cette ressemblance, colleter pour “le séparatisme et le communautarisme” là-dedans le région. En contrecoup, un pouvoir avait anecdote relevé, particulièrement, de la assiduité d’un paillasson de imploration là-dedans le voisin du dancing et du boycottage par le directeur de enfanter une part féminine. La Ville de Sète avait agrafé le placement de sa pension annale et la pari à compétence d’infrastructures municipales. Le dancing sétois avait déposé un ressource face à le chambre tatillon vers de épingler l’arrêté préfectoral, néanmoins la conseil avait conforté le éparque là-dedans sa caractérisation.

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