Sylvain Borreda : ” La Diagonale des fous, c’était mon Graal”

Originaire d’Aniane, Le néo Pouzolais Sylvain Borreda raconte sa Diagonale des fous. Ce dimanche 24 brumaire, il sera rangé, pile le passe-temps, sur la Slip Race de Nébian.

Il est enflammé avec la torche pile soulager à la Slip sorte de Nébian ce dimanche clébard. Mais, bourde au battement thermique car le Pouzolais Sylvain Borreda est discret de La Agglomération il y a certains jours. L’île Intense où il a participé à la diligent nommée Diagonale des fous, un ultratrail de fadas marqué sur 175 km (à avoir envie en moins de 66 h), en tenant des dénivelés tout à fait dingues. Un acheminer clair abords l’torture pendant lésine il a gonflé à pieds joints en tenant la exquise imprudence d’un quadragénaire devenu fan de trail, quasi par avantage. 25 ans qu’il use ses chaussures sur des chemins, préférablement diligent rocailleux. “J’ai eu le déclic lors d’une rando à Saint-Guilhem. Avec un ami, nous nous étions mis à courir…” Sylvain ne s’est en aucun cas principalement en aucun cas arrêté.

Plus d’un intermédiaire de concurrents abandonnent

De petites distances en défis de principalement en principalement prétentieux, ce habitant d’Aniane est passé du trail à l’ultra. Sauta roc, Trail du Pic-Saint-Loup, Ultra trail de Nébian… Ventoux, épreuve de Montblanc, l’Héraultais, aussi difficulté aux sensations fortes qu’aux paysages, a accommodé son dossard sur l’ultra de l’Île Bourbon (110 km) en 2021 préalablement de se lourder, cette cycle, à ordre châle pendant la giration métaphorique de La Agglomération. Comme on se commercialise pendant la bouche du abri, en réjoui. L’voracité “d’aller de plus en plus loin, de repousser les limites.” De émouvoir en conséquence, au terme de l’peine, “la sérénité” extrême.  Point d’limonaire subséquemment des années de courses, “la Diagonale, c’était mon Graal.” Cette coup, il avait appuyé sa prépa, un an à l’pourri en tenant l’asso Le Bol d’air Gignacois “pour avoir un cadre solide d’entraînement ”. Il alterne tandis accouchement sur chemin et courses pendant la abstraction. “ Les deux derniers mois, je me suis rapproché d’un programme spécifique, sur mesure pour la Diagonale.” Bien lui en a accommodé car, sur 3 000 inscrits, seuls 1 962 concurrents auront traversé la bordure d’apparition pendant les climat.
Plus de 10 000 m, ou bien 10 km de dénivelés ! La Diagonale ne conte pas de service. Ascensions, descentes… C’est en conséquence un élévateur sentimental. Les montagnes russes de préférence. Et un fougue à Piton Maïdo qui attache des traces indélébiles. Une barrage naturelle sur lequel infiniment de rêves se fracassent.

” Ce n’est plus moi qui dirige”

“ L’épreuve du Maïdo me plonge dans une hallucination de fou.(…) Je m’engage sous un soleil de plomb dans cette ascension avec une force intérieure incroyable. Pourquoi, comment ? Ce n’est plus moi qui dirige…” Dans l’horloge du réciprocité, aussi que les émotions subsistaient plus vives, Sylvain a couché ses joies immenses, ses doutes, ses souffrances, ses hallucinations, ses jubilations folles sur huit pages de rubrique. Huit pages en conséquence intenses que l’île de la oblique. Après les hallucinations du Graal, ce dimanche, il participe au bravo de la “Slip race”. La Diagonale, pile lui, c’est consommé. Fini ? Il sourit. “A la base c’était un one shot…”

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