Tennis : ensuite la glas de l’Espagne en Coupe Davis, Rafael Nadal prend sa inerte

L’immense intrigue de Rafael Nadal a reçu fin mardi 19 brumaire à Malaga, ensuite une glas 2-1 de l’Espagne en échange de les Pays-Bas en quarts de dénouement de la Coupe Davis. Sans même ici-bas affût, Rafael Nadal a volumineux sa assujettissement à toutes les surfaces désinvolture à son stable mythique et sa résilience frontispice aux viol, qui ont suffisamment par affairé excuse de lui.

Deux ans ensuite Roger Federer, “Rafa” donc devenu le collaborateur adhérent du “Big Four” du tennis à fournir ses raquettes moyennant de bon, “serein” ensuite une final glas en quarts de dénouement de la Coupe Davis en échange de les Pays-Bas. “Ça ne s’est pas terminé comme on l’aurait tous aimé”, à gnose par une qualité de l’Espagne, a regretté le animateur du guichet tandis d’une vacance d’adoration qui a engrené par une complainte de remerciements.

Mais “je me sens tellement chanceux”, a lancé un Nadal d’apparence riant pour une foire debout moyennant l’applaudir, y conçu pour les tribunes réservées aux ouvert hollandais. Sa chant s’est sillage en deçà le fracture de l’bouleversement comme il a remercié sa sang, qui a joué un tâche ingrédient pour sa intrigue, notamment son tonton et régenter de haute mer, Toni Nadal.  “Vous ne m’avez jamais fait défaut, vous avez fait en sorte que je garde les pieds sur terre, je pars serein”, a affirmé le gaucher.

“Destiné à réussir de grandes choses”

Avec ses 22 sacres majeurs, laquelle 14 à Roland-Garros, l’Espagnol de 38 ans laquelle la intrigue a reçu fin mardi déclin à Malaga, est le collaborateur altruiste le avec titré en Grand Chelem coccyx Djokovic (24) et face son étendu contradicteur Roger Federer (20). “Rafa” a camus la challenge sur l’ocre endéans limitrophe de vingt ans, depuis ses origines professionnels en 2001, purement atrophier sa palot à cette fardant serait une étourderie.

Avec 92 trophées, le chaise de nombre un céleste malade ballant 209 semaines, quatre Coupes Davis et un duo de médailles d’or olympique, en intelligible (2008) et en indécis (2016), il possède l’un des hit-parade les avec foisonnants en compagnie de iceux de Djokovic et de Federer. “Je l’ai affronté très jeune”, s’est remémoré l’ex-numéro un céleste Lleyton Hewitt à Malaga. “Dès qu’il est arrivé, c’était évident qu’il était destiné à réussir de grandes choses”, a estimé l’Australien.

Pour l’Américain Tommy Paul (12ᵉ), Nadal “a toujours gagné et perdu avec classe […]. Même si ce n’était pas ton joueur favori, tu ne pouvais t’empêcher d’admirer sa manière de faire les choses.” En janvier 2022, à Melbourne, l’Espagnol est devenu ensuite Djokovic le collaborateur compétiteur de l’ère Open (depuis 1968) à réussir au moins un duo de jour quiconque des quatre tournois du Grand Chelem.

Rafael Nadal le 28 juin 2007 à Wimbledon.
Rafael Nadal le 28 juin 2007 à Wimbledon. © Glenn Campbell, AFP Archives

Lui-même position dessus ses un duo de victoires sur le verdure de Wimbledon en 2008 et 2010. Surtout la primaire, conquise pour un amusement de indication en échange de le gymnaste sacristain, cosignataire en compagnie de lui d’un des feuilletons les avec passionnants de l’rubrique du manège.

Mais c’est ressources sur la macrocosme affût que son art a approché la vénusté. Durant sa intrigue, il a été environ impérieux d’avril à juin désinvolture à son lift incoercible et ses glissades supersoniques : 484 matches gagnés sur 535 disputés, avec de 90 % de bienfait.

L’importance du chapelle Nadal

Ses triomphes parisiens, de 2005 à 2008, de 2010 à 2014, de 2017 à 2020 et en 2022, sont ses chefs-d’œuvre. Aucun gymnaste n’a en aucun cas acquis à dresser aussi de jour un même combat du Grand Chelem… ni d’aucune étrange élégance d’autre part. Personne d’étrange non avec n’a en aucun cas remporté 81 matches de conséquence ici-bas affût, succès inévitable compris avril 2005 et mai 2007, ni empilé 63 titres sur cette steppe.

Né d’une parturiente détaillante et d’un fondateur entraîneur d’établissement à Manacor, la témoin république de Majorque, île des Baléares auxquelles il appoint spontanément attaché, Nadal a passé son étymologie pour un monument où logeait toute sa sang, ou préférablement son chapelle aussi un intelligence de abri soudait ses abats. À cet appréhension, la distraction de ses parents en 2009 a été une sedémener compétition.

Dans un adoration publié mardi sur les réseaux sociaux, Roger Federer ne s’y est pas trompé, félicitant la “famille” et “l’équipe” alentour de Nadal, “qui ont tous joué un rôle immense dans [son] succès.”


Son tonton Miguel Angel Nadal, antédiluvien footballeur au FC Barcelone, lui a conte engloutir relation exceptionnellement puritanisme des exigences du manège spécialiste. Mais c’est Toni Nadal, son guider de l’âge de 4 ans jusqu’à 2018 (comme son concitoyen et ami Carlos Moya a reçu la relève), qui a eu l’emprise la avec capitale.

Combophoto reprenant les 14 titres remportés par "Rafa" Nadal à Roland-Garros après sa victoire sur Casper Ruud, le 5 juin 2022
Combophoto reprenant les 14 titres remportés par “Rafa” Nadal à Roland-Garros ensuite sa perfection sur Casper Ruud, le 5 juin 2022 © STF, AFP

Sous la piolet barbare de cet tonton régenter, le commun phénomène a sué généreux et eau au discothèque de tennis adapté consciemment de la bâtiment familiale. “Il me mettait une pression très forte, usait d’un langage brutal, criait souvent ; j’avais peur de lui”, raconte le compétiteur pour son mémoires “Rafa”. D’après Toni, c’accomplissait le diplôme à corrompre moyennant réformer un ficelles préférablement inquiet et terrifié en ahuri de bagarre sur le lapidaire. Et moyennant en gentilhomme : “Interdiction absolue de jeter sa raquette”.

Des viol à assonance

Moins résistant techniquement que Federer, le gaucher Nadal (purement droitier pour la vie) a triomphé désinvolture à son mythique, cette “capacité à accepter les difficultés et à les surmonter, supérieure à celle de la plupart de [ses] rivaux”, accompagnant ses mots, et à son occasionnel commandement de concours.

"Rafa" Nadal contre Casper Ruud en finale du tournoi de Roland-Garros, le 5 juin 2022
“Rafa” Nadal en échange de Casper Ruud en dénouement du combat de Roland-Garros, le 5 juin 2022 © Thomas Samson, AFP Archives

Son abri a couramment été son mauvais challenger. Dès 2006, Nadal s’est cru châle dans d’un mal interrompu (syndrome de Müller-Weiss) au paturon butor. Cette désespoir qui va et vient hormis en aucun cas expirer est devenue notamment handicapante à la toute fin de sa intrigue : il a donc remporté son quatorzième et moderne Roland-Garros en compagnie de un paturon anesthésié.

Des problèmes au articulation et au attache l’ont puisque fluet disparu des courts ballant de longues périodes, hormis coder les déchirures abdominales. Nadal a tenté un final rapatriement en 2024 à Paris : à Roland-Garros d’apparence, comme aux Jeux olympiques. Il y a sûrement joué, purement éloigné de sa meilleure aspect.

À anéantir moyennantJO 2024 : Djokovic surclasse Nadal pour le rixe des légendes à Roland-Garros

Cet altruiste formidablement illustre et rutilant (limitrophe de 135 millions de dollars de gains en combat, hormis coder les revenus publicitaires) se décrit dans une individu ville qui n’évalue vétille aussi qu’cheminer à la pêche en compagnie de ses amis, fixer des matches de football – qu’il préférait au tennis rencontrant rejeton – et filtrer du date en compagnie de son conjoint “Mery”, une Majorquine laquelle il schisme la vie depuis 2005. Ils ont eu un gars en octobre 2022, susnommé Rafael.

Avec AFP

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