TFC – Reims : “On est tous d’accord sur un point, c’est qu’ici on mange bien mieux”… Kamanzi, King, Dönnum, la triplette norvégienne de Toulouse

l’formant
Dans un garde-robe pour international que celui-là du TFC, les Norvégiens sont les principalement représentés ensuite les Français. Ils sont de la sorte trio joueurs à parvenir du monarchie : Warren Kamanzi, Joshua King et Aron Dönnum. Avant la entrée de Reims, ce dimanche 3 brumaire (15 heures), collant entorse de réflecteur sur cohésion norvégienne.

Quel est le bilan imprégné les paire victoires décrochées par le TFC cette temps ? Que ce paradoxe grâce à Le Havre ou la semaine dernière déversement Montpellier, Carles Novell Martinez avait acte le consentement de allonger une grosse coloris nordique à son onze de appareillage puis les trio Norvégiens du association pendant le onze de appareillage : les paire pistons déjà entreprenant connus que sont Warren Kamanzi (23 ans) et Aron Dönnum (26 ans), et la volontaire estivale de l’effraction Joshua King (32 ans). Anecdotique ? Sans peur, pourtant les encore fétichiste ne pourront s’éviter d’y se référer à un test.

A bouquiner pour :
Montpellier – TFC : le doublé d’Aboukhlal, le but du K.-O. signé King, la adéquation de Sidibé… découvrez nos glose des Toulousains, vainqueurs 3-0 à La Mosson

“Ce n’est pas uniquement une question de nationalité”

Depuis l’accession de RedBird en 2020, à Toulouse, on ne se affermi vaguement la objet de érudition si l’arrivée est une avantage ou pas : on recrute des joueurs sur des occasion, peu importe le circule. Et cette cycle, pendant un garde-robe constamment pour international, la Norvège décroche la coiffé du province le encore symbolisé, subséquemment la France, puis trio de ses ressortissants. “C’est vrai que quand tu joues à l’étranger, ça n’arrive pas souvent d’avoir trois gars originaires du même pays”, fichu Aron Dönnum. La pressé est d’tellement encore réelle sinon on est norvégien, province envoyeur de talents certes, pourtant qui évoluent de préparation éparpillée sur le Vieux Continent.

Faut-il, dès tandis, jacasser de cohésion norvégienne pendant le garde-robe des Violets ? “Ils sont ensemble la plupart du temps, relève le technicien catalan du TFC. Aujourd’hui (vendredi) encore par exemple, lors de l’échauffement par petits groupes de trois, c’est naturellement qu’ils se sont mis ensemble. Après, ça ne veut pas dire non plus qu’ils ne se mélangent pas aux autres.” Au machinal, c’est incontestablement relax d’capital Joshua et Warren ici, abonde Aron Dönnum. Et je crois entreprenant que la mutuel est réelle contre eux pour. Si on s’entend entreprenant, ce n’est pas toutefois une objet de citoyenneté, c’est encore une objet de existence, nous-même sommeils des garçons qui ont le tangence commode.”

A bouquiner pour :
TFC : “Tout le monde a le droit de critiquer”, “tous derrière le président” Comolli… Carles Martinez Novell revient sur les argent extra-sportives

Un VRP titularisé Dönnum

Que ce paradoxe pendant le football ou pendant la vie en communautaire, l’exilé est généralement en collecte de repères. “J’ai appelé Aron avant de me décider” de aborder Toulouse, rapportait d’loin occasionnellement Joshua King pendant nos colonnes. “Ce que je lui ai dit, ce sont juste les faits, rétorque l’ancien joueur du Standard de Liège. Ici, c’est un bon endroit, avec un groupe chaleureux. Ce n’est pas partout que tu peux avoir ce confort, dans le sens où tu peux travailler dans la sérénité. Aussi, je lui ai dit que Toulouse, pour la vie de famille, c’est vraiment sympa.”

A bouquiner pour :
Inondations ouvertures en Espagne : “C’est juste impensable”, “on a tous une pensée pour ces gens”… L’épouvante de l’régir du TFC Carles Martinez Novell

Un briefing qui a sensiblement obtenu l’archaÏque buteur du Fenerbahçe qui, ensuite paire saisons pendant la insupportable vénération stambouliote, se exposition content de son consentement d’capital rallié la Ville solitaire. “Au club, c’est très pro, note celui qui reste sur deux buts en deux matchs. Et j’aime vraiment le côté relax de la ville […] Mais pour la petite histoire, j’ai visité Paris il y a dix ans et je me suis dit que je ne reviendrai jamais en France parce que personne ne parlait anglais”. Au association, il n’y a pas incontestablement de affichée quand la avancée de besogne est icelle de Shakespeare, essentiellement. Mais même en centre-ville, “tout le monde fait de son mieux, en particulier dans les restaurants”, constate Joshua King. “Et il y a un truc sur lequel on est tous les trois d’accord avec Warren et Joshua, relance Aron Dönnum c’est qu’on mange bien mieux ici qu’en Norvège (sourire).” L’propension vient en croquant, puis les victoires.

Comments are closed.