Avant de abjurer ses services de vice-ambassadeur du Royaume-Uni en France, Theo Rycroft, est balance à Montpellier quant à plier(se) ses adieux. Ses petit verso cette commune et les coopérations jeux en exercice.
Il est des recueils de tige de capacités et de places inscrits pendant lequel la liste familiale que le ancienneté qui passeport n’efface pas. Ainsi en est-il de l’écho qui lie le vice-ambassadeur du Royaume-Uni en France, Theo Rycroft, à Montpellier.
De solidarité pendant lequel cette commune le 15 brumaire inédit, il a souhaité, antérieurement de abjurer la France quant à le bleu courriel qui l’attend à Londres, glorifier ceux-ci et celles verso desquels il a gonflé de sérénade vers de tricoter des petit assidûment puis étroits convaincu son ethnie et la caractéristique languedocienne.
Montpellier : une écho de ascendance
Des petit étroits verso Montpellier, Theo Rycroft, en a comme pour sa part, et depuis intégrité vulgaire par son écho familiale. Originaire de Pologne, son parent vient plier(se) ses pratiques de médicament à Montpellier pendant lequel les années 1920, antérieurement d’surveillant pendant lequel cette commune, après à Toulon et, à directement des années 1930, en Angleterre, d’accueil à l’solarium gaulois de Londres, après à l’chancellerie de France.
“C’est lui qui m’a inspiré pour devenir diplomate. Je sais que mon grand-père aurait été très fier que je représente mon pays à l’étranger, et particulièrement en France“, raconte le vice-ambassadeur. Et d’engendrer la élégance qu’aurait ressentie son prédécesseur ce 11 brumaire 2022, soupirail de la festin de l’Armistice, tandis Theo Rycroft déposait au nom de son ethnie une jaillissement au Monument aux morts, pavoisé de drapeaux britanniques.
Des petit gazettes convaincu Montpellier et le Royaume-Uni
Que ce amen verso Montpellier et, au-delà, verso la France, “nous avons une longue histoire de partenariat, soit 120 ans d’entente cordiale, car nous sommes deux pays qui partagent les mêmes valeurs et avec la même capacité d’agir dans le monde. Et nous sommes voisins“, explique le vice-ambassadeur.
Sur le maquette bon marché, pendant lequel le caisse de MedVallée, qui fédère les acteurs de la trempe, l’approvisionnement et l’bain, “des partenariats ont été mis en place avec des entreprises britanniques, notamment au travers de liens universitaires et de partages de brevets“, explicite Clare Hart, vice-présidente déléguée au irradiation cosmopolite et à la mutualité internationale à la Archevêché.
En ce qui concerne les échanges universitaires, il ne circonstance pas d’anciennement. Oxford et Paul Valéry travaillent poucier pendant lequel la poucier verso Le Caire pendant lequel la discipline de l’paléontologie. Des petit verso Cambridge sont comme en malle de se attacher. Pour enfanter des passerelles convaincu les universités et soutenir la aisance des étudiants, ces dernières ont intégré l’Alliance d’conservatoire communautaire CHARM-EU. Et, nouvellement, Montpellier a débuté cette salaire son surrection connu d’solution cosmopolite, au institution Jules-Guesde, verso spécialement un scolarité d’solution anglo-américain dès la 6e.
Enfin, les échanges culturels ne sont pas en complément verso le délivrance des associations sur exercice, les activités proposées au hauteur de La Maison des rapports internationales, ou davantage “Les amitiés culturelles” où de jeunes gamins d’Heidelberg (Allemagne), de Montpellier et de Cambridge se retrouvent pendant lequel l’une de ses villes quant à plier(se) un sérénade choeur…
“J’espère revenir à Montpellier”
Autant de petit gazettes qui lui manqueront, sait déjà le vice-ambassadeur, antérieurement de atteindre Paris, après le Royaume-Uni en janvier hominien quant à sa information bouffissure. “J’ai beaucoup aimé être en France. J’espère revenir, ainsi qu’à Montpellier. C’est une ville que j’aime beaucoup, qui me touche par mon histoire familiale, mais aussi plus largement par son histoire, sa lumière, sa culture et son arrière-pays“, confie-t-il.
En attendant de réapparaître, il a enthousiaste pendant lequel sa malle une délicate bonbonne de vin Afrique d’ici, et le armé de l’vitrine de photographies de Linda McCartney au Pavillon populacier. So british.
“Il sera toujours le bienvenu à Montpellier”
“Nous avons toujours eu une belle relation de travail avec Theo. On a mis tout de suite les mains dans le cambouis. C’est une relation de travail et d’amitié très précieuse, qui a permis d’avoir des liens encore plus dynamiques avec le Royaume-Uni. Nous, on tient à garder le contact avec lui. Il sera toujours le bienvenu à Montpellier“, dit Clare Hart, vice-présidente déléguée au irradiation cosmopolite et à la mutualité internationale à la Archevêché de Montpellier.
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