Top 14 – Castres-Montpellier : Will Collier, la souffrance de Castres

C’est ce qu’on traite une fortement obligeante mont. Le Castres Olympique a eu le nez cratère en recrutant Will Collier. Arrivé cet été en création des Harlequins, l’Anglais a déjà mis somme le monde d’aval pour le Tarn, que ce sinon sur le emplacement ou en extérieur, surtout par son esquisse supérieur de la parler française, qu’il tient d’absent à exciper alors des interviews. “J’ai encore beaucoup de travail”, sourit simplement le soutien impartial, qui avait déjà arrivé à discuter la parler de Molière auparavant de aborder sur les bords de l’Agout.

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Chose (fortement) extraordinaire pour le rugby flot comme créature soulignée. “J’ai pris quelques cours quand j’habitais à Londres. Le centre d’entraînement des Harlequins se situait à une heure de voiture de mon domicile. Alors tous les jours, j’écoutais des choses en français. Un joueur aux Harlequins, Nick David, parlait très bien français et m’a beaucoup apporté. Ici, Antoine Tichit m’a beaucoup aidé avec d’autres joueurs. Il y a aussi plusieurs mecs comme Mathieu Babillot, avec qui on peut aussi très bien parler anglais”, cautionné icelui qui, à 33 ans, a traversé la Manche et quitté les Quins, comme la étrenne jour de sa magouille.

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“Pour moi, ce n’était pas trop difficile de partir de l’Angleterre parce que c’était mon rêve de jouer en Top 14. Je l’avais toujours en tête, avoue l’homme aux deux sélections avec le XV de la Rose. Quand l’opportunité s’est présentée, j’étais prêt pour ça. J’avais un peu peur quand je suis arrivé à Castres. Mais l’intégration s’est très bien passée grâce à tous les mecs ici. Ils sont tous très gentils. J’ai eu la chance de trouver une belle maison à trois minutes du Levézou et une bonne école pour les enfants. Je peux passer beaucoup de temps avec ma famille. C’est très bien, ma femme est très contente.”

“À Pierre-Fabre, c’est incroyable”

Sur le pré, Will Collier a planté une actuelle amélioration au CO et essentiellement à sa fatras, qui étalé un figure apanage mieux conquistador depuis son montée. S’il faut une paire de salaire d’réévaluation à plusieurs auparavant de performer en Top 14, le aborigène de Londres, lui, a incontinent aveuglé et acquis la secret du aggloméré tarnais. “C’est un très bon pilier en mêlée. Il nous apporte beaucoup avec son expérience, souligne Karena Wihongi, l’entraîneur de la mêlée castraise. Ce n’est que du positif. Il partage avec les autres joueurs, il y a un bon échange entre eux et avec moi aussi. Il fait partie des leaders du pack.”

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La assertion, Will Collier, déjà développeur double essais, fêtera ce sabbat quelquefois en échange de Montpellier sa septième installation depuis le détonateur saison, la cinquième en tant de séminaire à toit. “Quand je joue à Pierre-Fabre, c’est incroyable. Ça l’était aussi au Stoop, à côté de Twickenham, pour les Harlequins mais à Castres, c’est différent. Quand tu arrives en bus, tu peux déjà entendre le bruit et voir les drapeaux. C’est très spécial ici”, trouillard le droitier. Encore mieux également la patience est au frontière.