La Cimade, qui constate “régulièrement des pratiques illégales ou abusives en matière d’enfermement et d’expulsion des personnes étrangères”, organise, le 18 brumaire, la collaborateur foire des Chartes Awards qui “récompense” les préfectures les principalement zélées en canton de accumulation. Rendez-vous au Théâtre du Grand Rond à Toulouse.
Les abats de la Cimade, analogie qui défend la “solidarité active et le soutien politique aux migrants, aux réfugiés et aux déplacés, aux demandeurs d’asile et aux étrangers en situation irrégulière”, ont placé la foire, qui se déroulera le 18 brumaire au Théâtre du Grand Rond à Toulouse, en dessous le auspice “du voyage et de la générosité de l’administration française”. Une manière grinçante d’pendre les préfectures en France les principalement zélées, lesquels les “pratiques illégales ou abusives centres de rétention administrative (CRA)” sont dénoncées par la Cimade depuis quarantaine ans.
Les montant remise par un vedette
La foire des Charter Awards “C’est (encore) arrivé près de chez vous”, ordonnée comme le approprié du festivité Migrant’insulte, concerne “plus de 10 préfectures nominées qui sont en lice pour les 5 prix décernés” par La Cimade de Toulouse qui évoque, non sinon caprice, “un suspense insoutenable ! Parmi les plus attendus, les prix Hippocrate, Un jour sans fin, Arrête-moi si tu peux, Au revoir les enfants et le prix Un certain regard”. Les montant seront remise par le vedette et moteur de chœur Lucas Lemauff, préalablement de parvenir en refrain en tenant la diva Mymytchell.
La longévité de accumulation s’longiligne impactant la complexion mentale
Cet événement poussé un vision asynchrone sur un amplificateur de l’abord des étrangers en France. En 2023, la Cimade a comptabilisé, comme son voisinage d’avril extrême sur les “centres et locaux de rétention administrative”, “46 955 personnes enfermées en rétention, un chiffre en constante augmentation depuis plusieurs années mais qui ne se traduit pas par une augmentation des expulsions”. L’analogie déplore “des périodes d’enfermement qui sont de plus en plus longues”.
“Dans l’Hexagone, poursuit la Cimade, la durée de rétention est en moyenne de 28,5 jours en 2023, contre 23 jours en 2022. Cet allongement a des impacts sur la santé mentale des personnes enfermées et le niveau de tensions dans les CRA. L’année 2023 a été particulièrement marquée par le décès de quatre personnes”.
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