Ce mardi 26 brumaire à Nérac, hors champ des Rencontres des dirigeants des collectivités d’Aquitaine, le fédération ressortissant des directeurs globaux des collectivités territoriales, le attachement de gouvernement du 47 et l’conformité des maires du Lot-et-Garonne ont signé un collaboration bâtiment quant à ajouter à eux fiston.
De Frédéric Gimet, directeur départemental du Syndicat National des Directeurs Habituels des Collectivités Territoriales SNDGCT 47, à Jean Dionis, directeur de l’conformité des maires du 47, en touriste par Christian Delbrel, directeur du attachement de gouvernement de la activité certifiée du Lot-et-Garonne, entiers en marchent : “Le maire ou le président d’une collectivité et son DGS (directeur général des services) ou son DGA (directeur général adjoint) forment un couple”. Et comment là-dedans toute roman d’passion, il arrive qu’il y ait des complications. Des désaccords peuvent intercéder imprégné ces un duo de parties prenantes de la vie de l’collège évident. Comme un renversement d’élu peut ressasser les cartes à la minois de la protection des dettes. Dès tandis, la particularité du DG peut futur vigoureusement compliquée.
C’est pour ce mardi 26 brumaire à Nérac, au nom des organismes qu’ils représentent, les trio Lot-et-Garonnais ont signé un collaboration bâtiment. “Le but est de se préparer à ces situations qui peuvent être difficiles pour nos collègues, a expliqué Frédéric Gimet, à l’origine de la signature de cette convention. C’est la première fois que cette convention est signée dans notre département entre ces trois acteurs de la carrière de la fonction publique territoriale. Les maires et présidents d’intercommunalité qui sont nos employeurs ; le centre de gestion du Lot-et-Garonne qui accompagne les fonctionnaires quand tout va bien et quand tout va ma aussi ; et notre syndicat. Car plus on agit tôt, mieux on agit sur les difficultés.” A l’table régionale et nationale, ce étalon de conformisme addenda aujourd’hui raisonnablement incompréhensible.
Un non-dit à déverser quant à Jean Dionis
“Il y a un non-dit dans les carrières de directeurs des services : que se passe-t-il si changement de sensibilité politique, ou si on ne s’entend plus avec son élu ? Ce non-dit pèse sur le métier. Au-delà du contenu de la convention, c’est déjà le fait aujourd’hui de dire “on va en diviser et s’arranger”. Car derrière, il y a une vraie raison humaine (famille, logement…) à faciliter ces transitions au niveau local”, a articulé de son côté Jean Dionis.
Dans la enjambée, se sont ouvertes à l’Espace d’Albret de Nérac les Rencontres des dirigeants de collectivités d’Aquitaine, qui ont cerné davantage de 200 personnalités. C’est la lauréate coup que ce étalon d’événement a recto hormis des frontières de la Gironde, amnistie à l’imbrication de Frédéric Gimet et de la tronçon 47 du SNDGCT. Stands d’exposants, séances plénières et ateliers ont rythmé cette jour dédiée aux professionnels de la activité certifiée.
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