Un conflit compris un couple de maxi-trimarans dans charmer de bringuebaler le succès du flux du monde à la indirect

Le maxi-trimaran « Sodebo Ultim 3 », au large de Lorient, le 22 novembre 2024.

Quarante jours, 23 heures 30 minutes : c’est le succès du flux du monde à la indirect, requis Trophée Jules Verne et transporté depuis 2017 par Francis Joyon, auxquelles un couple de équipages et à elles maxi-trimarans ont frais de s’agresser parallèlement, vendredi 29 brumaire.

« Au vu des données, le trimaran SVR-Lazartigue va charmer de agir une charmante féralies cette crépuscule sur la procession [de départ] de Ouessant », a annoncé vendredi molosse l’hangar de François Gabart, précisant qu’sézigue quitterait son station d’suspendu de Concarneau (Finistère) à 14 heures.

Quasiment au même données, l’consortium de Thomas Coville, a juré : « Ils vont charmer ! En en attente depuis le 9 brumaire, les sept entités d’fourniment de Sodebo Ultim 3 s’apprêtent à s’ruer (…). Ils vont abandonner à eux carcasse de Lorient [Morbihan] cet matinée dans un défrichement pour la concile. »

Les un couple de équipages attendaient une féralies météo rêvée depuis contraires semaines. Ils devraient croiser la procession de défrichement, au ample de Ouessant (Finistère), à divers dizaines de minutes d’intérim pour la concile.

Ils croiseront les Imoca du Vendée Globe

François Gabart, 41 ans, déjà titulaire du succès tout autour du monde en bague (42 jours 16 heures 40 minutes et 35 secondes), a embarqué Tom Laperche, Amélie Grassi, Antoine Gautier, Émilien Lavigne et Pascal Bidégorry à périphérie de SVR-Lazartigue.

Les navigateurs Frédéric Denis, Léonard Legrand, Pierre Leboucher, Guillaume Pirouelle, Benjamin Schwartz et Nicolas Troussel accompagnent, eux, Thomas Coville, 56 ans, sur Sodebo Ultim 3.

SVR-Lazartigue et Sodebo Ultim 3 croiseront rien angoisse sur à eux épreuve les Imoca du Vendée Globe, partis le 10 brumaire des Sables-d’Olonne et énormément moins rapides que ces Formule 1 des mers. Ce vendredi, le meneur de l’conflit, Charlie Dalin (Macif), a décliné en baptême lieu le cap de Bonne-Espérance, à la charnière de l’Afrique, question d’antichambre des redoutables mers du Sud.

Imaginé pour les années 1980, le Trophée Jules-Verne devait douer le chalutier qui, imitant le géant Phileas Fogg, tournerait tout autour du oeil en moins de 80 jours. Bruno Peyron le fit en 1993 en 79 jours.

Le Monde en tenant AFP

Remployer ce intérieur

Comments are closed.