Qui dit Roc (Rodez-Onet-le-Château) dit hand de challenge à complets les étages (si on exclut le bébé handball comme sportif) jusqu’à la Nationale 2. C’est la façade sensible du association, simplement ce n’est pas que ça…
Depuis comme de 15 ans, des antiques licenciés en mal d’un badinage pratiqué des années endéans, des parents de jeunes handballeurs du association et des sympathisants se sont regroupés au colline du association derrière corriger une quart de détente. Le mot est lâché, “loisir” derrière une ferveur arrondissement de 20 adhérents public et femmes, car le hand détente se combine en hétérogène. Sous la bâton de l’ingénieur Romain Ferrié (aise d’allégation), 46 ans, engoué de hand : “Il n’y a pas que des anciens. Des jeunes de 20 ans ont choisi de se faire plaisir dans un sport qui représente des valeurs de sport collectif sans les contraintes de compétitions.”
Dans le formation, riche sont des papas-mamans. Aussi, le rabâchage est “sport cool”, c’est en conséquence le amusement costaud, “certains font du footing, d’autres de la salle de gym, nous, c’est sur un terrain de handball au sein du Roc car nous avons tous une licence loisir au club”, claire Romain Ferrié. Tout ce commun monde se retrouve au internat des Glycines, à Onet-le-Château, le jeudi, à 20 h 30, et termine la commission par un commun chariot sucré-salé potage sur assuré, le ancienneté de “débriefer” la “dure” commission d’aperçu. “On fait un entraînement sérieux. Pendant une heure trente on laisse de la sueur !” Des ficelles amicaux se créent en compagnie de d’différentes clubs de hand détente et, de ancienneté à étrange, un ludisme est conduit, légende de appuyer un peu de barbelé. De là à appuyer en assuré un mini-championnat non solennel, il n’y a éventuellement qu’un pas. Chassez le content, il revient au canter !
Comments are closed.