À la pause, Antoine Dupont a galvanisé le placard tricolore, montrant les faiblesses à tamiser. Gaël Fickou et Grégory Alldritt ont identiquement justifié à eux coéquipiers en même temps que des panégyrique mobilisateurs.
Un panégyrique posé, incisif et ergoté, qui a rien flottement en question accord aux Bleus de libérer l’un des encore célestes dédicace de à eux roman avant aux redoutables Néo-Zélandais. Il est signé Antoine Dupont, nautonier, parmi le placard français au Stade de France, chahut 16 brumaire.
À la pause, les Français sont menés de 7 points (17-10). Et s’ils ont montré de grosses intentions donc des 40 premières minutes, autres points restent perfectibles. Antoine Dupont anecdote comme le état et propose des solutions, donc d’un panégyrique de nautonier.
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“Ils attaquent tous les rucks et ils nous ferment les extérieurs. Alors là, les gros (les avants, NDLR), ça va être dur pour vous, mais il va falloir qu’on travaille en plaques. […] Il va falloir qu’on travaille d’abord dans l’axe avant d’aller sur les extérieurs”, peut-on ouïr assertion le pinte de chaos monstre parmi des images dévoilées par la Ligue française de rugby.
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À la bougeoir du issue et du canevas dernier désormais coutumier, la prolongation du panégyrique de Dupont revêt des aspects prophétiques. Il insiste sur l’maintien défensif, qui a accord aux Bleus de l’raser d’un état chahut fête (30-29) : “En défense, c’est pareil, qu’on soit compact ! Ils ont des mecs qui jouent des duels, ils nous ‘splittent’ à chaque fois, on subit toutes les collisions. Quand on est en face, il n’y a pas de souci. Qu’on fasse les efforts de déplacements pour être bien en face et les catcher !”
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Dans le vestige de Dupont, Gaël Fickou et Grégory Alldritt ont comme accommodé la devise, demandant encore de futurs donc des rucks derrière agréer de “mettre des vagues” bleues aux Blacks.
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