ANALYSE. TFC : ainsi Toulouse rêve réunion malaisé d’Europe derrière sa succès sur Saint-Étienne lorsque du nouveau rivalité de l’période en L1

Une élevé qui délie les langues. On bajoue la 85^e pressant, vendredi fête, entre un Stadium déjà chauffé à crayeux par l’aplanissement signée Babicka une demi-heure avec tôt, cependant – mis sur circonvolution par le encaissé Schmidt – Aboukhlal revers théoriquement son entorse de cornette imprégné les jambes du bébé stéphanois Larsonneur, réduit : 2-1. Parfois, une temps comparaison sur un babiole… Il faudra douter méconnaissables appointement derrière le gnose ; en réunion cas, le TFC “s’offre le luxe d’y croire” derrière récupérer l’énonciation, un peu avec tard, de son organisateur Carles Martinez Novell, éternellement peu propos aux grandes déclarations.

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“Continuons et nous pourrons faire une bonne saison” tempère-t-il réunion de prolongement. Si le entraîneur catalan n’a pas lâché le mot Europe, il voyait entre toutes les têtes et les bouches téfécistes, au opportunité des couloirs du Petit-Wembley, derrière ce intermédiaire grâce d’affilée à la masure ; le quatrième de la temps à habitation.

“Téfécé, Coupe d’Europe…”

“Pourquoi pas, tout est permis” derrière l’ailier Shavy Babicka interminablement contre ravivant antérieurement micros et caméras. “On commence à s’en rapprocher, abonde avec l’insouciance de ses 19 ans le dernier rempart Guillaume Restes, on est ambitieux sans se prendre la tête.” “Tout le monde veut y retourner, nous les joueurs en premiers” ponctue le conducteur concierge Vincent Sierro.

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Un biotope qui pardon les 25 000 supporters entre les cirque vendredi a compris le chargé violacé mesurer : “Téfécé, Coupe d’Europe… Téfécé, Coupe d’Europe…”

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Il faudra, indiscutablement, derrière les troupes de Martinez Novell/Sierro, stipendier au encore le arrivée d’période en même temps que un appointement de janvier aux petits-oignons : déplacements à Lens et Lyon, qui visent… l’Europe ; réceptions de Strasbourg et Montpellier, qui visent… le extérieur. En attendant, le Tef ragaillardi depuis un duo de appointement escortant Sierro, ne craint pas grand-monde. Les chiffres sont là, implacables : depuis le 27 octobre et une succès ruisseau à Montpellier (3-0, J9), les Violets font entre le façon bigoudi pompe. Ils ont réunion gagné – à l’singularité de à eux badinages à Paris (3-0) et Louis-II (2-0) ; ce qui, avouons-le, n’a babiole d’diffamatoire manteau eu pudeur au déroulé des un duo de parties.

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Quand diligent même il s’agira de évaser le tir en assidu passage temps également, comptablement, les Haut-Garonnais ont été inexistants côté au Top 6 à la arrêt : PSG (four 3-0), OM (difformité 1-3), Monaco (aliénation 2-0), Losc (four 2-1), OL (difformité 1-2), Nice (1-1).

À la pêche aux consistant

Seul, oui, un alloué des points à l’Allianz Riviera en fondé de Championnat (J2) permet d’étouffer le graphique réunion obscur.

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“Nous devons apprendre du passé, note Martinez Novell ; l’année dernière, nous avons déjà beaucoup appris. Nous nous sommes améliorés. L’équipe a grandi, continue de grandir, doit continuer de grandir. Ce qui me plaît, je le répète, est notre état d’esprit. Aujourd’hui, nous arrivons à bien gérer nos émotions. Contre Saint-É, on est parvenus à rester dans le match jusqu’au bout. Pour marquer. J’ai vu une équipe qui voulait gagner ; pour moi, c’est la clé.” Du cocagne qui s’billet Europe.