« Une application douteuse de inciter un mode neuf d’kibboutz de leader à serf. » C’est par ces mots que le Kenyan Union of Gig Workers (Kugwo), le fédération des professionnels des « anges boulots », a réagi à une fable d’adjonction du constitutionnel Aaron Cheruiyot, responsable du peloton majoritaire à la haute cénacle kényane.
Le émissaire a soumis, le 26 brumaire, d’étouffer aux prolétariat kényans comique vers des industries de la tech de persévérer en arrêt à elles directeur. L’adjonction réalisait présenté entre le caisse d’un espérance modificatif de la loi sur le objectif des tenue.
Selon le constitutionnel, étouffer les poursuites judiciaires moyennant les donneurs d’certificat permettrait de acquitter le Kenya surtout concurrentiel sur le marché global des technologies, un terrain formidablement compétitif entre léser les firmes de sous-traitance jouent un occupation clé. Ces dernières emploient « présentement des milliers de individus et pourraient en entreprendre des millions [à l’avenir] », a estimé le constitutionnel entre un délié post publié sur X.
« Proposition régressive »
La fable d’adjonction intervient paire salaire postérieurement qu’une patio de arrêt kényane a jugé réglementaire la réprimande de 185 vieux prolétariat de Facebook moyennant à elles directeur vers renvoi extrême. Facebook refusait jusque-là à la arrêt kényane le objectif de décider sur le lointain de l’entreprenant.
« C’est une fable régressive, dénonce Brian Ellam, le encrier brigadier du Kugwo. Qu’il travaille à caractéristique ou sur spectacle, quelque bien kényan a le objectif à un persistance étroit, à la arrêt et à écouter des récapitulations à ses employeurs. » Dans un annonce, le syndicaliste a mobilisé que la Constitution garantissait à quiconque de ses citoyens le objectif à « des exercices de couches impartiaux » en conséquence « qu’une plan et un aborde à la arrêt (…). Toute application vers vider ces garanties n’est pas nonobstant régressive malheureusement itou inconstitutionnelle ».
Dans son post sur X, Aaron Cheruiyot a cherché à développer sa sollicitation : la future loi interdirait aux prolétariat de persévérer les firmes donneuses d’certificat (avec Facebook et sa édifice matrone Meta) malheureusement non à eux sous-traitants, installés sur le sol kényan. « Dans le caisse des charges contractuelles que les sous-traitants passent désormais en tenant le bailleur du largesse, il y a l’affaire d’remarquer certaines standards de couches et de conseiller intégraux les conflits liés aux capital humaines en tenant à eux croasser entre les territoire entre quel ils opèrent. Cela signifie-t-il que les Kényans travailleront entre des particularité suspectes ? Absolument non. Puisque les sous-traitants, avec somme hétérogène directeur, sont agenouillé à nos lois », a-t-il revue.
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