Aussonne. Le situation palpable des réunion citoyennes d’arrière-saison

Les six rencontres citoyennes organisées là-dedans la conurbation ont supposé d’convertir sur les préoccupations locales. Le prévôt, Michel Beuillé, salue une attitude instructive, involontairement des contraintes de réalisations.

Au repère des six réunion citoyennes organisées cet arrière-saison, en également de places de la conurbation, le prévôt, Michel Beuillé, dresse un situation palpable de l’arithmétique. “C’est une formule qu’il convient de déployer tous les deux ans, cela permet de compléter avantageusement nos échanges avec les habitants et d’aller au plus près de leurs préoccupations. Plutôt que de les inviter à une seule réunion au centre-ville, cela permet de se rapprocher des habitants, en site propre, d’identifier leurs doléances et de proposer des solutions concrètes. C’est beaucoup plus fécond que la lecture des réseaux sociaux, qui affichent des difficultés, mais s’inscrivent dans des monologues sans possibilité de confrontation. Le conseil municipal au complet recueille ainsi la parole des administrés et partage directement leurs inquiétudes”.

Des interpellations les surtout diverses : “Cela va de la circulation à tous les problèmes de mobilité ou de déplacements, à l’édification de trottoirs ou au sentiment de sécurité, notamment pour les quartiers éloignés, où ont été établis des lotissements encore non intégrés dans le domaine public. Toutes les demandes ne sont pas réalisables, surtout lorsqu’elles relèvent d’autres instances, comme le retard dans le prolongement de la voie rapide RM902, colonne vertébrale qui éviterait que nos voiries constituent un déversoir de trafic. Il reste à s’entendre sur les solutions, notamment en matière de ralentisseurs, entre coussins berlinois ou chicanes, selon les souhaits des riverains.”

La liberté s’est révélée contrastée : “de 20 à 60 participants selon les lieux, avec parfois des surprises, curieusement, les quartiers les plus touchés par certaines nuisances ont enregistré une faible affluence. Mais dans tous les cas, les dialogues ont été riches. Le seul regret est de ne pas pouvoir répondre positivement à toutes les requêtes. Il va falloir prioriser, on ne peut pas tout faire à la fois, tout n’est pas possible.”

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