Bayrou Premier parlementaire : ce qu’en pensent les responsables politiques

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Quelques heures ensuite la élection par le Président de la Patrie, Emmanuel Macron, de François Bayrou puis Premier parlementaire, les nécessaires responsables politiques de l’Aude certains donnent à eux points de vue et impressions ensuite changées semaines de turbulences enchaînement à la renversement du imitation pouvoir de Michel Barnier, supplice de la proposition de excommunication.

Alix Soler-Alcaraz : “Bayrou, c’est le bilan et rien que le bilan d’Emmanuel Macron”

Premier communautaire du Parti socialiste pendant lequel l’Aude, Alix Soler-Alcaraz avoue une fruit “mitigée” à la élection de François Bayrou puis Premier parlementaire. “Je suis mitigé dans le sens où les partis du Nouveau front populaire (PS, PC, EELV) étaient depuis plus d’une semaine dans une démarche très constructive afin de sortir le pays de la crise institutionnelle et au regard des résultats des élections où le NFP était arrivé en tête. Le Président Emmanuel Macron ne semble pas entendre ce qu’on exprimait les Français lors des législatives. C’est même une dérive inquiétante. Ce que je comprends, c’est que les députés socialistes se placent dans l’opposition car François Bayrou symbolise le début et la fin de la macronie. Mais surtout, il n’y a pas de changement de cap. C’est le bilan et rien que le bilan d’Emmanuel Macron. C’est donc un sentiment amer pour moi que l’on soit dans la poursuite de la politique du président alors que ce n’était pas le message envoyé par les Français les 30 juin et 7 juillet”.

Christine Breyton : “François Bayrou assurera la stabilité que les Français réclament”

Président de l’cénacle départementale de Renaissance pendant lequel l’Aude et pilon du conciliabule individu du absent de Gabriel Attal, Christine Breyton se dit satisfaite du florilège de Premier parlementaire. “François Bayrou a toujours défendu l’intérêt général et il assurera la stabilité que les Français souhaitent. Il connaît très bien les dossiers urgents qui se présentent à nous. Celui des agriculteurs notamment. Il est aussi, comme moi, un militant de la proportionnelle et je pense qu’il sera faire sur le dossier des retraites. Il est l’homme de la situation. J’ai de l’espoir et je suis contente pour ces 30 mois qui nous séparent de l’élection présidentielle. Il coche toutes les cases. J’espère maintenant que le Parti socialiste va se réveiller (Christine Breyton est une ancienne responsable socialiste dans l’Aude avant de rejoindre Emmanuel Macron, NDLR) et se détacher de la France insoumise. Les premières réactions qu’ils ont sur une non-censure automatique étaient ce que l’on attendait d’eux”.

Bernard Tondereau : “Que chacun puisse y mettre du sien pour avancer”

Le administrateur du absent des Républicains de l’Aude Bernard Tondereau a un compréhension partagé sur le florilège du Premier parlementaire. “François Bayrou sera-t-il l’homme du compromis, c’est difficile à dire. Tout le monde espère, mais comme il y a de nombreuses lignes à ne pas franchir… Il faut que chacun soit capable de faire un pas en avant pour ça puisse s’inscrire dans la durée. Il faut que chacun y mette du sien pour avancer. Il faut sortir de cette situation politique où chacun parle à sa famille politique, et pas forcément aux Français. Si on voulait LFI ou le RN au pouvoir, on ne s’y prendrait pas mieux ! On doit remettre nos rancœurs dans nos poches, mais le grand fautif de tout ça est Emmanuel Macron.”

Christophe Barthès : “L’avenir nous dira s’il veut travailler avec nous”

“Tout ça pour ça ! Tout ce temps de réflexion pour nommer ce type qui était déjà ministre quand j’avais 15 ans…” Suite à la élection de François Bayrou puis Premier parlementaire par le administrateur Emmanuel Macron, le envoyé RN de la 1re commune de l’Aude Christophe Barthès dit “prendre acte de cette décision” en courtois le important intéressé “qu’il ne faut pas qu’il croie que tout va lui tomber rôti ! Il faut qu’il nous entende en respectant les 11 millions d’électeurs qui ont voté pour nous. Le président n’a pas voulu nous recevoir et l’on espère, que lui, nous recevra ! L’avenir nous dira s’il veut travailler avec nous”.

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