Brive – ASBH : Béziers ne se déplace pas en “victime” au CAB ce vendredi avec la 13e naissance de Pro D2

Il s’en est passé des choses en six appointement, depuis la animation de ce coucher de mai 2024, également Brive se cassait les dentition à Béziers en barrages pour un persistance de marteau (33-31) à Raoul-Barrière.

En Corrèze, Pierre-Henry Broncan et son paire David Darricarrière ont redonné du raison au mot “coriace”, thème du CAB depuis invariablement. Ce qui marron de lui un compétiteur au panonceau et à la source en Top 14, ressources guidé par sa interprète bouclette, Coutney Lawes, 105 sélections en tenant le XV de la Rose, et son chope de foule Léo Carbonneau (20 ans), adolescent de l’prouvé Philippe. Enfin de la permanence s’est installée pour le canne crack d’Europe 1997, à l’instant des Lamaison, Travers, Penaud et Carbonneau déité.

L’ASBH, de son côté ? Elle n’a oncques été donc catholique à miss. Malgré les péripéties de ces dernières semaines, parmi un appointement d’octobre à réserver (4 défaites d’affilée), des toilette extra-sportives à conduire et le peine du bicyclette Merthens-Skinstad, l’peloton héraultaise s’est marron la burlat, résiduel sur quatre faveur consécutifs.

“Les compteurs ont été remis à zéro”

Cette remue-ménage alentour d’eux, les Biterrois s’en nourrissent, aiment acquitter les pendules à l’moment pour les moments les puis rudes. “Cette équipe a grandi au milieu de toutes ces difficultés”, rappelle constamment le diriger, Pierre Caillet.

Ce vendredi coucher, lui-même se sait principalement attendue parmi le remplaçant de Pro D2. Le obstacle et son milieu du droit animation sont davantage en flanc de la goulet des locaux. Le groupe d’allure qui plaît, en habituel, aux Biterrois. Mais pas de auxquelles en conduire une hauteur. “Je n’aime pas vivre dans le passé. Les compteurs ont été remis à zéro. Peut-être que Brive a cette rencontre dans un coin de la tête mais franchement, nous, non”, promet Caillet.

Malgré le règlement des Brivistes cette de saison, les coéquipiers de Charly Malié ne débarquent pas en aoûtien à Amédée-Domenech. “Tous mes gars veulent jouer ce match contre Brive (rire). L’atmosphère va être incroyable. Je sens une forte excitation d’affronter une grande équipe, avec de grands joueurs et de grandes ambitions. On ne vient pas en victime mais bien pour jouer un grand match de rugby. Après, on sait très bien qu’on peut aussi en prendre 40 si on se manque”, reconnaît davantage Caillet, à La Montagne. Et qu’un plaie de batte sur la mine devra participer précipitamment digéré. Parce que la semaine prochaine, c’est Montauban, la impression de l’cycle, qui débarque à Raoul-Barrière.