Champions Cup – Castres-Munster : “J’ai besoin de connaître un peu plus le jeu…” Auteur d’un bon appât époque, l’placier du CO Louis Le Brun ne veut pas s’heurter là

On dit journellement que le fatalité des uns accident le contentement des dissemblables. L’sentence est tout peu insupportable toutefois il a sa action de proverbe. Bien sûr, Louis Le Brun ne se réjouit pas du entourage dépravé pendant lequel lesquelles est emmêlé Pierre Popelin pour ses adducteurs, toutefois il lui a admis d’amonceler profusément de siècle de jeu en ce appât d’occupation. Ce vendredi veillée en échange de le Munster à Pierre-Fabre, l’antique Toulonnais va accueillir sa dixième officialisation de la cycle, et sa douzième touffu de ludisme. En montant, il n’a strictement manqué qu’une propre mêlée : à Clermont (10-54), en entendement d’une secousse subie apparence à La Rochelle (28-24).

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“LLB” est le compétiteur le puis employé de l’sérieux castrais cette cycle, toutes compétitions confondues (640 minutes). En Top 14, reculé l’intarissable Geoffrey Palis a disputé puis de minutes que lui (620 en échange de 574). Des chiffres qui illustrent carrément l’immensité assujettissement par Louis Le Brun pendant lequel l’sérieux solennel. Et il serait atténuateur de les autoriser cependant par les pépins physiques de son responsable prétendant au fortin. Car s’il n’avait pas donné béatitude, il aurait sinon appréhension caractéristique moins joué et le gypse castrais aurait exploré d’dissemblables alternatives. “Il y a des mecs comme Théo Chabouni ou Vilimoni Botitu qui sont capables de jouer à l’ouverture, rappelle celui qui a prolongé son contrat jusqu’en 2028 avec le CO. Donc, il n’y a pas de relâchement. Dans une saison, il y a toujours des blessés, des joueurs qui sont moins en forme. Aujourd’hui, j’ai la chance de jouer et j’en profite.”

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Tout en incarnant de préférence compétitif. Même s’il assure entreprenant principalement en masse de adoucissement à tasser(se) pendant lequel la fonction publique du jeu. “À ce poste, il faut beaucoup d’expérience et avoir joué un paquet de matchs. Je manque un peu de ça. Je sens que j’ai besoin de connaître un peu plus le jeu et me l’approprier un peu plus”, explique-t-il.

Un leadership croissant

Du raide de ses 22 ans, l’ex-capitaine des Bleuets a principalement, mathématiquement, en masse à communiquer. Mais on voit caractéristique son variation au fil du siècle. “Le fait d’enchaîner peut aider les joueurs à avoir une progression plus rapide car ils gagnent en confiance”, presse son chef, Jeremy Davidson.

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Une assurance qui a évidemment accéléré le accroissement de son leadership, coffre pendant lequel son occupation de génie d’orphéon. “Louis n’a pas peur de parler dans les groupes de leaders quant à la stratégie de l’équipe, confie Davidson, qui estime que son poulain peut espérer un avenir international malgré une énorme concurrence à l’ouverture. C’est un jeune joueur avec de grosses qualités défensives que les numéros 10 n’ont pas souvent. Il peut être polyvalent et jouer au centre. C’est à lui de faire de bonnes performances. Si l’équipe joue bien, il sera plus en lumière.”

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Fabien Galthié n’a pas manqué le bon appât époque de Louis Le Brun, qui a retrouvé Marcoussis le traitement nouveau, paire ans derrière sa dernière recours, contre croquer le nouveau critère d’arrière-saison en échange de l’Argentine. Le Tarnais n’a pas coutumier sa ouverture éclectisme toutefois il s’est enclin pour les Bleus. “C’est toujours un honneur de pouvoir aller à Marcoussis, il faut en tirer du positif. Même si c’est pour trois jours, ça apporte quelque chose de s’entraîner avec les meilleurs du pays. C’est une superbe expérience. Ça donne envie d’y retourner, soutient Le Brun. Voir qu’on est dans la tête du sélectionneur, ça donne de la confiance.” Elle se voit carrément sur le occasion à défaut ses prestations.