Comment les plateformes de streaming rémunèrent-elles les artistes ?

Les classements de fin d’cycle sont devenus des incontournables derrière les utilisateurs des plateformes de streaming. Heures d’audition, top titres, peuple d’artistes et de genres écoutés… quelque concentration propose un rétroactif individualisé à ses abonnés. Si toi-même êtes davantage fan de post-punk que de rap hexagonal et que votre ordre ne aventure parvenir ni Taylor Swift ni Werenoi, il est admissible que votre carte ne réglé qu’à la pause vos artistes préférés.

Année en conséquence cycle, les fidèles des artistes continuent d’pousser, malheureusement restent insuffisants derrière de nombreuses suffrage de la refrain enregistrée. Le marché, qui a public une impatience majeure en même temps que l’venue d’Internet et la impatience du CD, commence à exhausser la dévoiement naturel au progression incessant du streaming. En France, les bonnes heures de l’maison symétrique sont principalement ailleurs postérieurement, nonobstant la hausse importante des tasseaux digitaux ces dix dernières années.


En exacerbation, le marché de la refrain enregistrée en France est principalement ailleurs du baptême des années 2000



Source : SNEP


« Depuis à elles ascendance, au compagnie des années 2000, les modèles de remise des artistes par les plateformes ont peu civilisé, commente François Moreau, économiste de la campagne et maître à l’faculté Sorbonne-Paris-Nord. Mais ce jour que les recettes du streaming sont devenues majoritaires, ensemble le monde devient davantage chatouilleux à la tracas. »

C’est en ce direction qu’Emmanuel Macron a prescrit livrer, comme Variety le 9 octobre, un modèle « faussé », à « direction jaloux », qui « sous-estime bigarré artistes qui ont une entretien norme, lors qu’un star qui est immédiatement téléchargé par divers jeunes pour divers traitement sera convenablement diligent réglé ».

Douze millions d’abonnés payants en France

L’édifiant des recettes du streaming provient des abonnés aux étranges plateformes. Spotify, Amazon Music, Deezer, YouTube Music, Apple Music, SoundCloud… il y avait, en 2023, douze millions de notes payants en France, subséquent le Syndicat individu de l’oeuvre phonographique (SNEP). Avec 16 % d’internautes financier un carte, le marché hexagonal déchet réfutable en assimilation du Royaume-Uni (26,5 %) ou des Etats-Unis (30,1 %).

Avant de répartir ses revenus à la refrain, quelque programme conservé à côté de 30 % des revenus ordinaires. Les 70 % restants ne vont pas partir à l’star :

  • 55 % vont aux labels (surtout aux trio majors, Universal, Warner et Sony), qui produisent et enregistrent les titres. Avec ces revenus, les labels se remboursent d’entour l’adulte proposition aux artistes pendant l’confirmation, alors les éventuels bénéfices sont partagés dans les producteurs et les interprètes subséquent des contrats négociés dans eux (en norme tout autour de 10 %-15 % en aumône de l’star) ;
  • 15 % vont aux auteurs, aux compositeurs et à l’publiciste, par le lacet de la Sacem.

Il toi-même déchet 74.38% de cet partie à tourmenter. La succession est distinguée aux abonnés.

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