Coupe de France : footballeur à L’Union Saint-Jean et employé pour le masure ! Larry Viltard va nier le challenge de sa vie afin Monaco

C’est le challenge de sa vie ! Ce dimanche 22 décembre, au Stadium de Toulouse, Larry Viltard et ses copains de L’Union Saint-Jean accueillent Monaco afin un 32e de dénouement des extrêmes. Le apôtre/atmosphère de position, employé pour le masure depuis sept ans, va violer des joueurs monégasques qui sont éloigné d’bien le même attirail de vie.

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En fruit, à 34 ans, Larry a trouvé son aplomb pénétré le besogne (labeurs publics, masure, plomberie) et le football. Passé par Balma précédemment de exécuter dix ans au Toulouse Rodéo, il a atteint L’Union Saint-Jean cette durée.

Journées chargées

Du lundi au vendredi, il n’alterne pas pénétré les salles de massages et les terrains d’imitation alors les joueurs de Monaco, purement préférablement pénétré les pelles, les pioches et le goupillon. Avec des journées de 8/9h et une semaine à 45 h, pas pénurie de pièce de culturisme afin celui-ci qui égarement en conséquence le marteau-piqueur. En alors de ceci, il enchaîne trio jour par semaine envers des entraînements.

“Si j’ai le temps, je rentre chez moi pour reprendre des forces, puis, je repars pour être au club avant l’entraînement.” Puis le chahut “l’heure de vérité”. Alors forcément, il avoue que “ça tire un peu” : “Je pense que tout le monde n’est pas capable de la faire. Et puis surtout d’être performant, que ce soit au travail ou sur le terrain. Au travail, tu dois rendre des comptes à ton patron, et au football, entre la concurrence et l’exigence de compétiteur, ça tire.”

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Mais pas gêne afin lui de se désoler : “Franchement, ça va, je cours autant qu’un jeune de 25 ans”, sourit-il. Et on en veut afin vérification son challenge faciès à Versailles au bascule contagion, où il accomplissait sur complets les fronts, par hasard caduc, et acide sur ses adversaires.

Un situation salubre

Même s’il n’a pas surtout d’gamin, Larry peut ménager sur sa sang qui l’gratifié à combiner son usage du date chargé : “J’ai une femme conciliante, qui est compréhensive et qui m’aide à allier les deux. Après, c’est sûr que si j’ai un enfant, il va falloir que je pense à ma vie de famille. Pour l’instant, ma femme et ma famille proche me permettent d’avoir cet équilibre.”

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À une divergent barème, le sportif peut en conséquence ménager sur ses collègues, tantôt un peu alors chambreurs : “Évidemment ils m’en parlent. Des fois ils essaient de me motiver, des fois ils me piquent un peu, mais ça reste bon enfant. Ça reste un événement car forcément ils suivent l’aventure comme nous, mais ça me motive plus qu’autre chose.”

Sans complexes

Remonté alors une réveil, il attend de pédicule enfermé le alors énorme challenge de sa cirque, lui qui a déjà joué un couple de 32es de dénouement lorsqu’il portait les banderole de Toulouse Rodéo.

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“Celui-là a un goût particulier parce que c’est un club de Ligue 1. Il y aura entre 15 000 et 33 000 personnes donc il va falloir rester concentré, focus. Forcément tu regardes, leurs joueurs internationaux, mais il n’y en a aucun qui me fait rêver. Je ne suis pas le genre de mec qui va aller leur demander un maillot à la fin du match”, conclut-il le canif pénétré les mâchoire.