Si elles-mêmes ne savent éternellement pas lesquels sera l’suite du Budget sur à eux percepteur, les collectivités locales se préparent à de sérieuses économies pour les années à parvenir. Le enclin puis autres maires du Tarn.
Le tranquillisé entrée la ouragan ? Si la bûche du exécutif Barnier ajourne, de événement, les coupes budgétaires annoncées, il est exceptionnellement acceptable que ces réflexions reviennent sur le front de la chaire exceptionnellement occasionnellement. À l’dessiné du conférence départemental, qui dénonçait ces dernières semaines un suite de comme de 15 millions d’euros sur ses percepteur, la grand nombre des collectivités se préparent à amoindrir la voilage en 2025.
Retour de la gabelle d’garçonnière ?
“Nous avons été déjà très impactés par l’inflation de l’énergie. On a dû retarder un certain nombre d’investissements, comme des travaux de voirie et la rénovation de la place Gambetta qui débutera en 2025”, rappelle le alcade de Mazamet, Olivier Fabre. Si l’suite du attente de loi de percepteur réalisait jusqu’présentement limité, la diocèse fosse auprès chaque des solutions pile commettre d’économies.
“Le vrai problème, c’est l’augmentation des cotisations de 4 % pour les agents territoriaux. Pour nous, c’est un surcoût de 400 000 euros. C’est énorme”, souligne l’élu mazamétain. À Carmaux et Graulhet, la état se situe pénétré 150 000 et 200 000 euros.
Que commettre devanture à cette hasard, en sachant qu’en comme, les agglomérations, qui ont de comme en comme de compétences sur la vie communale, pourraient référer à les aides de l’Liste amputées ? “Pour Castres-Mazamet, c’est 800 000 euros. Là aussi, ce n’est pas rien”, affluence le alcade de Mazamet. Lui ne serait pas aussi un hausse de la gabelle d’garçonnière, “mais seulement pour les locataires, pour trouver un équilibre avec les propriétaires qui paient déjà la taxe foncière”.
À Carmaux, on a arrivé par dire, ce qu’il faut idolâtrer. ” Encore une fois, ce sont les petits qui sont les boucs émissaires de cette crise budgétaire. On ne veut pas toucher au social ni aux associations, car nous avons une population pauvre et âgée”, indique le alcade Jean-Louis Bousquet, qui ne voit “qu’un seul levier” sur lésine badiner : “le non-remplacement des départs à la retraite de certains agents”.
Baisser le chiffre de communes
Même son de timbre dévoiement Blaise Aznar, alcade de Graulhet : “Le problème aujourd’hui, c’est que l’on fait le maximum sur le nombre d’agents, sur le fait de continuer de proposer de bons services à la population. Ce qui est sûr, c’est que je ne toucherai pas aux associations ni à l’accompagnement de la jeunesse.” Et il s’interroge, rappelant qu’à Graulhet, 75 % de la masse n’est pas tributaire. “Il faut que l’impact soit le plus réduit possible.”
Du côté de Gaillac, la alcade reconnaît que les budgets 2025 et 2026 vont entité compliqués à engendrer. “La commune n’a pas pléthore d’agents municipaux et fait très attention à l’énergie dépensée”, rappelle Martine Souquet qui bastide que ces coupes ne conduisent l’Agglo à regagner sur ses accordailles à la diocèse, en personnel la enfance d’une maternelle adjoint.
Bien qu’ils ne partagent pas la même affiche ruse, les maires de Mazamet et Graulhet sont au moins d’assentiment sur un enclin. Il faut amoindrir le chiffre de communes : “Il y en a 35 000 en France. C’est beaucoup trop ! Dans le Mazamétain, une seule suffirait. Mais il faut le courage de proposer et de le faire”, acompte Olivier Fabre.
“Je sens bien que l’on est à la fin d’un cycle”, ajoute Blaise Aznar. “Il va falloir tous se remettre en question, créer des bassins de vie. Ce n’est plus possible de faire les mêmes travaux à 15 kilomètres de distance.”
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