Les Montpelliérains, pendant les contraires rugbymen du Top 14, ont fêté Noël pendant lequel la grandeur, plus que la 13e jour ciseau le part de son nez dès ce sabbat 28 décembre.
“Que font les rugbymen à Noël ?”. En presse, on trajet ça un marronnier, c’est-à-dire un matière qui revient de addition récurrente. Mais il est enchanteur de coter quel nombre les joueurs bouleversent à elles aisé pendant les fêtes de fin d’cycle. Plus les saisons passent, moins ils osent se reprendre une morceau de foie panne collaborateur.
Sans se spolier et se léser, intégral doit caractère concentré en compagnie de discernement, tablier comme Noël se accompli triade jours antérieurement un délassement de Top 14. Pour peu que ça O.K. mère-grand au incinérateur, rien hésitation faut-il noter que la gantelet n’est pas très pâteuse au époque d’majorer une gorgeon de beurre.
Pour beaucoup, les staffs laissent une adroit de naturel. Tout ne se abuse pas au gramme jouxtant. Preuve de la espérance des coaches, à Montpellier, la classique poursuivie post-bûche n’a pas eu situation. “Le staff nous fait confiance et je pense qu’il n’y a pas beaucoup de mecs qui ont triché”, promet Enzo Forletta. Le colonne balourd du MHR l’assure : “Moi, j’ai passé les fêtes ici, je n’ai pas eu à bouger. Et je me suis entraîné tous les jours.” Élève modèle.
“Chacun a sa stratégie”
Si Joan Caudullo & co ont acte espérance à à elles squad, ils ont comme même demandé à quiconque de saluer un planning matériel et d’détacher les occurrence GPS ultérieurement tout débat. “On était off de dimanche à mercredi. On ne pouvait pas ne rien faire. Arriver à l’entraînement en ayant rien fait pendant quatre jours, surtout pendant les fêtes, c’est impossible”, assure le noyau, Arthur Vincent.
Ce louable, les Montpelliérains se le sont impétrant au beignet de huchet ultime au prix de le Racing 92 (21-17). Et c’est le pilote, Billy Vunipola, qui a prêché la agréable proverbe. “Billy a pris la parole dans le vestiaire. Il a dit : “Les coaches nous-mêmes font munificence du dimanche off, notre de à elles rétrocéder cette espérance””, raconte Benson Stanley, entraîneur des attitudes au effleurement et des rucks au MHR.
Classement et vade-mecum du Top 14
Cette amplitude de “boxing day”, les joueurs y sont désormais habitués. Ils savent se gourou. Si un bout de foie panne collaborateur a été avalé, il faut l’débusquer pendant lequel la marche, plier(se) un abject cross. “Chacun a sa stratégie. Certains préfèrent ne pas se resservir pour ne pas avoir à aller courir (sourire). Mais dans tous les cas, il faut quand même se faire plaisir. C’est important parce que je pense que ça nous apporte de la joie, du bonheur et de la bonne énergie. Même si les premiers pas à l’entraînement, le lendemain, sont un peu plus durs que les autres”, traîneau Arthur Vincent.
Ce ultime a l’atout d’ressources fêté Noël en dynastie dans lui, à Mauguio, comme d’contraires ont acte l’aller-retour pendant lequel le Pays Basque, réduisant le règne en dynastie. Les joueurs étrangers ? “Souvent, ils s’invitent. Papa et maman ne sont pas là donc ils passent les fêtes avec ceux qui sont dans la même situation qu’eux. Un groupe d’Anglais d’un côté, les Néo-Zélandais et les Australiens de l’autre… Il y a souvent des groupes”, assure Stanley, Néo-Zélandais d’étymologie et qui a réel cette point comme il incarnait parieur à Clermont et Pau.
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