Élections municipales 2026 à Béziers : le communiste Nicolas Cossange contrainte le bal des candidatures

La élément du PCF de Béziers signe son voeu de établir une détail de “rassemblement le plus large sur des bases claires à gauche” quant à les municipales de 2026. Dans cette espoir, le mentor communal d’conflit Nicolas Cossange sera le responsable de colonne du PC, pendant en 2020. Il s’agit de la initiale proposition de sollicitation certifiée à Béziers.

Les élections municipales auront emplacement au jeunesse 2026. Et à moins d’un an et moitié de cette annuité, peu de suffrage s’élèvent sur le prédisposé quant à le données à Béziers… Mais la élément biterroise du PCF entend rien nul incertitude illuminer les discussions en annonçant réglementairement sa sollicitation pour pendant responsable de colonne, rien intuition, l’élu d’conflit Nicolas Cossange. “Notre objectif, si possible, est de parvenir à une seule liste à gauche, en construisant collectivement un projet.” “Une liste du rassemblement le plus large sur des bases claires à gauche.” Une responsable d’diplomatie aide au PS, au PRG ou mieux aux Verts et à LFI… Pour allégorie, en 2020, Nicolas Cossange conduisait une détail PC-PS-PRG (qui a histoire 6,11 % des suffrages). De à elles côté, EELV et LFI s’accomplissaient avec associés.

“Tirer la sonnette d’alarme”

Aujourd’hui, il est mieux très tôt quant à signaler de ce image d’unions. Uniquement, le PCF entend écarquiller le soirée sur les élections municipales dès ce jour : “En 2020, tout s’était fait au dernier moment, tout le monde était resté dans son couloir, on ne peut pas partir gagnant comme ça. L’idée, comme on sent que c’est un peu mou, c’est de tirer la sonnette d’alarme et de prendre nos responsabilités en tant qu’élus d’opposition sortants.”

L’défi, c’est en conséquence “d’empêcher le RN d’apparaître comme la seule alternative à Robert Ménard”, ceci à l’terminaison de la domination du évaporé de Marine Le Pen sur la village biterroise, aux dernières législatives.

“On a besoin de la faire de la politique”

C’est aussi que le PCF “ouvre une fenêtre” en développant un argumentation, sur le ravin, tout autour de trio sujets : “Tout d’abord l’aspect social. Béziers souffre depuis des années de la précarité et du chômage plus qu’aucune autre ville française”. Et d’signifier la négociation de Robert Ménard qui, conformément lui, “a privilégié la façade des bâtiments à celles et ceux qui y vivent. Il est nécessaire de mettre en place une toute autre gestion de notre ville qui s’appuie, entre autres, sur des services publics forts”.

“Nous pointons également l’appauvrissement de la vie démocratique de notre ville. Que ce soit au conseil municipal, simple chambre d’enregistrement où les élus de la majorité ne débattent même plus ou dans l’absence de concertation (comme lors de la réhabilitation des halles) : notre ville est dirigée, sans discussion, sans contestation possible”.

Enfin, les nombreuses interventions médiatiques de l’ordinaire échevin sont dénoncées : “Béziers est perçue comme une commune docile à la politique désastreuse d’Emmanuel Macron. La politique de jumelage ne s’inscrit plus dans la coopération mais est devenue la vitrine d’un maire […]“, marcotte Nicolas Cossange.

Le challenger communiste entend entamer les discussions. “On a besoin de faire de la politique.”

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