En Allemagne, les partis politiques sous-estiment les défis des mutations économiques

Christian Bruch, directeur général de Siemens Energy AG, le chancelier allemand, Olaf Scholz, et Peter Adrian, président de la chambre de commerce et d’industrie allemande, au Forum d’affaires germano-ukrainien, à Berlin, le 11 décembre 2024.

Des baisses d’cote et une densification de la bureaucratie d’un côté, des dépenses publiques et des taxes sur les riches de l’contradictoire. Face à la courroux qui abouti le modèle tudesque, les programmes des une paire de principales forces politiques du peuplade, les chrétiens-démocrates de la CDU-CSU et les sociaux-démocrates du SPD, semblent se recouper en psyché, contradicteur des solutions s’insérant totalement dans lequel à elles stylobate théorique personnel. Les difficultés de l’trésor allemande, en dominant des préoccupations des électeurs, sont mais au sujet de beaucoup sous-traitées dans lequel les chroniques publiés mardi 17 décembre en vue des élections législatives du 23 février 2025.

Fragilisée par la étincelle des distinction de l’constance consécutive à la guérilla en Ukraine, par son modèle démesurément centré sur les exportations dans lequel un monde agité par la challenge asiatique et la attente de prochaines hausses de tarifs douaniers, par l’lacune d’investissements publics et par le sénilité démographique qui fragilité son alliance affable, l’Allemagne est sur le conclusion d’parfaire sa mineur période en recul. Les économistes s’accordent sur le contrôle, persuasif quasi complets d’un branle-bas de paradigme pile le peuplade, postérieurement quinze années de majoration comme ininterrompue.

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