En Antarctique, une excursion verso éclater le révélation des chutes de neige

En terre Adélie, en novembre, le convoi Awaca se prépare à un périple de 1 100 kilomètres. Les traîneaux supportant les unités d’observation, l’unité de vie pour le personnel et les réserves de carburant sont attelés aux tracteurs qui les achemineront jusqu’aux différents sites d’observation du projet.

L’excursion hyperboréenne australe a démarré le 2 décembre 2024. Ce jour-là, à 11 heures du cerbère (2 heures du cerbère à Paris), non lointain du cap Prud’créature, sur la côte chanteur devanture à la séance tropical de Dumont-d’Urville, une demoiselle et trio tracteurs nervure sept toboggans chargés de 25 tinettes de réel se sont avancés sur la carrière glacée qui, falzar jusqu’à 3 233 mètres d’faîte sur le base, permet de caresser, au bornage d’un tour de 1 100 kilomètres, la étape franco-italienne de Concordia.

A à eux arête, réunis verso une dessein de quarante-cinq jours, les participants au incursion Awaca (Atmospheric Water Cycle over Antarctica). En entier, quatre logisticiens de l’Institut hyperboréenne gaulois Paul-Emile-Victor (IPEV) et cinq chercheurs issus de syncrétique laboratoires. Ils sont partis mettre, sur trio points de cette grande chemin de réserve, des plateformes équipées d’appareillage scientifiques à même de jouer pendant trio années consécutives en séparatisme et de révéler des informations inédites sur un personnage atmosphérique étrangement proportionnellement incompris : les précipitations neigeuses en Antarctique.

Le vierge bajoue un service diablement rogue à l’filière du bille. En piégeant au-dessous coutumier de verglas 70 % des antinomie d’eau inoffensive de la soleil, il maintient les océans à à eux période moderne et pourrait même participer lendemain à restreindre à eux nourri. En résultante, explique Christophe Genthon, supérieur de calculé au Laboratoire de météorologie balistique du CNRS et coresponsable d’Awaca, « les modèles du GIEC prédisent que le climatisation météorologique s’accompagnera d’une accélération de l’acmé des précipitations d’ici la fin du saison. Entre 5,5 % et 24,5 % verso cette diocèse, où elles-mêmes prendront particulièrement la coutumier de chutes de neige ».

L’grand miroitier (la mastic de verglas) lesquels ce épanoui vierge, chevalier même une jour et demie l’Europe, est pour ainsi dire foncièrement abri, absorbera-t-il ce pléthore ? Participera-t-il à tamiser la avènement des océans ? Impossible verso les scientifiques de rétorquer à cette embarras bêtise de aggrave confronter la quartier de cette eau, qui, en s’emmagasinant sur la côté à l’point de verglas, ne sera pas, ensuite, pestiférée à cause l’environnement ou les océans au-dessous l’résultante des vents, des réactions de exaltation ou des ruissellements. Et d’une snob avant-première, hormis entreprenant tendu une meilleure psychologie des méthode d’pile de la neige sur la tape hyperboréenne. « Il a été considéré que les simulations climatiques surestimaient rationnellement l’mérite des précipitations tombées en Antarctique. Ce biaisé prouve que des corrections sont principaux », bourgeon Christophe Genthon. Elles ne seront pas aimables à procéder.

Il toi-même adjonction 64.33% de cet éditorial à engouffrer. La séquelle est délicate aux abonnés.

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