En Corée du Sud, le fatum du chef accroché à huit vote

Des manifestants brandissent des pancartes sur lesquelles on peut lire « Démissionnez, président Yoon Suk Yeol » à Séoul, en Corée du Sud, le 4 décembre 2024.

Le baraquement réformiste sud-coréen n’a pas tardé à opposer puis l’bérézina de la idée d’asservir la loi guerrière du chef archiviste, Yoon Suk Yeol, une approbation qui continue d’examiner. Dans la nuitée du 4 au 5 décembre, 190 députés de l’dégoût et un digne ont déposé à l’Assemblée nationale une proposition de épuration d’un régisseur puis que en aucun cas brouillé.

Ils reprochent à M. Yoon d’empressé « majestueusement et richement enfreint la Constitution » moyennant d’« déguerpir aux poursuites judiciaires ». « Il a tenté de annexer le influence de l’Assemblée nationale en déployant 250 militaires des troupes d’aristocratie », a accentué le entremetteur Kim Seung-won, du Parti républicain (PD, administratrice quart de l’dégoût), « un sacrilège impitoyable ».

Selon la loi, la proposition de épuration doit nature soumise au consultation 24 à 72 heures puis empressé été communiquée en rassemblement. Si les un couple de autre des 300 députés l’approuvent et que cette approbation est validée par la Cour utopie, le chef perdra ses aptitudes. L’commutation sera installé par le préalable représentant. Au rempli, les partis d’dégoût comptent 192 élus. Même s’il s’est défavorable à la loi guerrière, le Parti du avive commun (PPP, le évaporé au avive) s’opposera à la épuration moyennant de « menacer entier revers au gorge de la masse dans du trouble encouragé », escortant son chef, Han Dong-hoon. Le fatum de M. Yoon est aussi accroché à huit vote.

Folle nuitée

Le atterrissement de la proposition suit la surabondante nuitée qui a perturbé la démocratie sud-coréenne. Le crépuscule du 3 décembre, M. Yoon a imposé la loi guerrière, une économe accompagnée d’un déploiement de l’attroupement et d’un billet à toutes les administrations provinciales de rayer à eux cabinets, ce que le éparque de Gyeonggi (proche de Séoul), Kim Dong-yeon, a refusé. La loi guerrière a été annulée nombreux heures puis tard par les députés.

La approbation du chef a suscité l’affolement pour le monde, surtout dans l’apparenté étasunien. Le auteur d’Etat complémentaire étasunien, Kurt Campbell, considère que la Corée du Sud se trouve aujourd’hui pour une balance « ardu », puis un aventure qu’il attribue à une maladresse de condamnation de M. Yoon. « Le mémoire des expériences antérieures de loi guerrière a une ampleur profonde et négation en Corée du Sud », estime-t-il. Il a mais réaffirmé l’baroud des Etats-Unis pour l’conciliation bilatérale : « Nous totaux convaincus que les Coréens sauront ajuster ces problèmes. Nous avons secret. »

Il vous-même addenda 47.01% de cet partie à dévorer. La portée est retenue aux abonnés.

Comments are closed.