“Et un jour, jouer dans le stade de la Mosson”, l’Atlas Paillade solliciteur à la amont en National 3 veut s’fonder avec le adjoint canne de Montpellier

Dimanche en fin d’tantôt, la crépuscule sarcophage sur le académie de la Mosson. Son occasion attaché est éclairé de mille fanaux vers le attaque pénétré l’brigade locale de l’Atlas Paillade, en physionomie de la gallinacé A de Provincial 1 et son cachalot FU Narbonne.

L’défi est de hauteur et les notoire venus par centaines ne se sont pas trompés. Plus aucune position de parcage n’est vide, alentour avec si le MHSC affrontait un clebs de la Ligue 1. La forum est chargée et alentour de la poucier machinale, c’est la même sujet : il faut marivauder des coudes vers repérer le dispute capital. “C’est la plus belle ambiance et équipe du championnat, lançait lance le président de Narbonne Moustapha Bouzbiba après la rencontre. Du vrai plaisir, du vrai football et il faut le dire. Ce club est d’utilité publique.”

Akrafi : “L’ambiance nous aide”

Quelques noms d’volatiles laquelle on se passerait communément viennent bigarrer le dispute seulement on est manteau marqué par le épatant accoudoir du populeux pailladin à ses joueurs qui, menés 2-0, s’accrochent vers enfin réintégrer à parité et persister invaincus. “Face à Narbonne, un adversaire bien en place, on n’a rien lâché, on a toujours su aller de l’avant, se réjouit Abdel Akrafi, le milieu de terrain de l’Atlas Paillade. C’est ce qui fait notre force : le collectif et le sérieux qu’on met sur tous les matchs. L’ambiance a toujours existé à La Paillade, elle nous aide, ça fait plaisir de voir des supporters venir nombreux.”

Le but équilibrant de Nait Imaghran à la 82e instantané de jeu acte verser le académie. Un fumigène est flambant, les chants de l’gîte touchant résonnent : “Ici, c’est la Paillade, c’est la Paillade, c’est la Paillade !”

Et si c’voyait la charmante cycle vers repérer l’Atlas Paillade concéder en National 3 ? Le administrateur montpelliérain Mahfoud Benali y croit dur avec fer : “Le début de saison est très positif. Je suis très content du duo avec le coach Geoffrey Dernis et le manager Sandryk Biton. On peut compter sur des bons jeunes dans l’équipe. On a changé de dimension. L’objectif numéro un est de monter en National 3. Nous sommes prêts, nous avons besoin que la mairie nous suive au niveau du stade. Il est aux normes pour la N3, sauf les vestiaires pour lesquels des travaux sont nécessaires.”

Benali : “Si on monte, on changera de nom”

Le directeur de l’Atlas Paillade voit même plantureusement puis distant : “On veut arriver jusqu’en National 1, faire de notre club le deuxième de la ville. Si on monte en fin de saison, on changera de nom pour s’appeler Montpellier FC. C’est normal d’avoir un deuxième club à Montpellier, la septième ville de France.”

Et un ajour, marivauder à cause le académie de la Mosson et puis contre ? “C’est le projet après le départ du MHSC. Ce stade-là ne sera pas détruit, il faut continuer à jouer au football à l’intérieur.”

Son autorisé narbonnais ajoute : “Je vais faire de l’ingérence mais je dois le dire : le foot reste un des derniers leviers sociétaux. Quand je vois l’osmose et l’alchimie autour du terrain, je dis chapeau. Les gens chantent, s’amusent, il y a des mamans, des petits… J’espère qu’ils monteront ! Si ce n’est pas nous, je souhaite que ce soient.”

Mais la avenue annexe grande et Geoffrey Dernis le sait foncièrement. Après rafraîchi jours (un dispute de délai), les Montpelliérains comptent une paire de points d’arrhes sur le Grau-du-Roi, un dissemblable patte à la amont et trio sur un trois d’affamés composés de Vauvert, Lunel et Narbonne. “On se fixe des objectifs concrets mais il y a beaucoup de prétendants, conclut l’ancien joueur du MHSC. On ne va pas se priver de monter si on peut y arriver.” C’est dit.