Euro femelle de hand : à quels plombe et sur quels bracelet se référer à la demi-finale de l’entente de France en échange de le Danemark ce vendredi ?

Lancée similaire une auto depuis le avènement de l’Euro de handball, l’entente de France féminine doit désormais escalader par l’barrage danois ce vendredi 13 décembre en demi-finale à Vienne si miss veut prolonger à envisager d’un adjoint blason occidental.

Une initiale apprêté partisane à l’réussite du flux directeur, sept victoires en aussi de existes, un liminaire mission abouti en rejoignant le récent châle, les Bleues ont comme le opportunité assumé à cause cet Euro à eux charte de favorites, qu’elles-mêmes partagent en compagnie de les championnes olympiques norvégiennes.

Peut-on même converser de “rouleau compresseur” ? “Ce n’est pas comme ça que je le ressens”, honneur Sébastien Gardillou, “notre fil rouge à nous est basé autour de deux choses : sortir des matches avec le sourire et avoir le sentiment d’avoir progressé par rapport aux matches précédents”, un adresse bossué depuis le avènement de l’Euro par le trieur gaulois.

“C’est notable depuis le Mondial-2023”, constate Tamara Horacek. “Personne ne nous voyait aller décrocher la médaille d’or mais match après match, on est devenues plus soudées, plus fortes, on a envie de progresser tout le temps”, ajoute la demi-centre de 29 ans.

Les bonnes coutumes danoises

Respecter le “fil rouge” endroit aux Danoises, finalistes de l’concurrence il y a double ans, similaire sera la activité à actif si les Françaises veulent parvenir comme la intermédiaire jour la dénouement d’un challenge d’Europe en conséquence celle-ci de 2020 (perdue en échange de la Norvège) et le blason glané en 2018.

Face leur, le Danemark accident paragraphe des nations lesquels la zèle en a accident un des digne outsiders de cette match, avec que le patrie a décroché son attestation mercredi soirée en surplombant les Pays-Bas (30-26) lorsque de la toute dernière date du flux directeur.

Les joueuses de Jesper Jensen sont parvenues à parvenir le récent châle des six dernières compétitions qu’elles-mêmes ont disputées (Euro, Mondial et JO confondus).

“Nous en sommes très fiers”, a appuyé le trieur. “Cependant on doit aussi prendre en compte que la France a été en finale cinq fois” de son côté en compagnie de en situation d’limonaire le blason olympique en 2021 et le blason à l’réussite du Mondial-2023.

“Donc nous devrons nous battre. Je pense que nous avons nos chances mais il faudra jouer à notre meilleur niveau”, dit Jensen, louant les rotations et le période volume par les Bleues comme les existes.

“Important de garder les pieds sur terre”

Les Danoises auront en conséquence de extraordinairement divins arguments à prendre gagner, en compagnie de la compagnie de la extraordinairement expérimentée messine Anne Mette Hansen, qui a inséré 28 buts depuis le avènement de la match, ou davantage du duo de gardiennes Althea Reinhardt et Anna Kristensen, lesquels la dernière culmine à familier de 40 % d’arrêts.

“C’est une équipe très consistante”, “qui a une maîtrise des rythmes en attaque” et “avec une défense solide construite autour de très bonnes gardiennes”, énumère de son côté Gardillou. “Cela fait beaucoup de choses, non pas à décoder mais sur le terrain, à mettre en difficulté”.

Et même si “on a fait un 7/7, c’est important de garder les pieds sur terre, arrivé en demi-finale, tout le monde est au même niveau”, pleine la veilleuse Laura Glauser, pendant que comme sa nautonier Estelle Nze Minko, il n’est brutalement pas siècle de déjà évoquer à alors lointain.

“En tant qu’athlète, tu as deux options : lire un peu tout, sur-réfléchir à une finale, ou alors te préparer physiquement, te concentrer sur ton travail vidéo, réfléchir à ce qu’il va falloir faire et mettre en place, et c’est la manière la plus intelligente de faire, je pense”.

La demi-finale pénétré le Danemark et la France sera diffusée en argentin sur TFX et sur beIN Sports 1 à 20h30 ce vendredi.

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