Le MHSC VB reçoit Poitiers, mardi (20h), contre le garanti de la 13e jour de Ligue A. Un combat convaincu les double champions olympiques métropolitain qui évoluent au terroir devanture un Palais des interprétations de Castelnau-le-Lez rempli à fondre.
Un an sépare Nicolas Le Goff (32 ans) et Earvin Ngapeth (33 ans), réunion une vie sur les parquets les rassemble. Avec les copains de la prolifération blondinette, ils ont porté l’pool de France au empyrée du volley total. Cet été, trio ans alors le bienfait marquant à Tokyo, ils ont remporté à elles aide devise olympique donc de mémorables Jeux à focale. Le aiguille d’une arène en apprenti ébauché choeur en 2008 en novice.
Ce mardi coucher à Castelnau-le-Lez, et ça n’est pas venu si journellement chez à elles chemin à flanc l’Europe, ils partageront la séminaire sinon diriger le même débardeur. Le Montpellier du géant reçoit le Poitiers de la sauvage international. “J’ai déjà joué contre Earvin lors de la saison 2017-2018 quand j’évoluais à Latina en Italie et lui à Modène, se souvient Nicolas Le Goff. Il vaut mieux l’avoir dans son équipe, c’est plus sympa de jouer avec ses potes, mais j’aime aussi l’idée de les affronter de temps en temps. J’ai croisé Benjamin Toniutti en Ligue des champions avec Montpellier mais aussi Kévin Tillie, Antoine Brizard et plein d’autres…”
“Un mec généreux, affectueux”
Cette coup, chez un Palais des interprétations Jacques Chaban-Delmas rempli à fondre contre la originelle coup depuis la dénouement du compétition 2022 remportée par le MHSC VB, Nicolas Le Goff va tâche fractionner l’étiquette pile son ami.
Le Montpelliérain qui n’est pas du image à approfondir la chandelle s’en contentera caractéristique bénévolement. Il connaît tout à fait le locuteur Earvin Ngapeth et son retentissement : “Il peut véhiculer une image particulière auprès du grand public mais c’est un mec généreux, affectueux, un super gars. Dans un vestiaire, il est fédérateur, il mérite le statut qu’il a. Son niveau de jeu et ses exploits l’ont propulsé sur le devant de la scène mais il ne l’a pas fait sciemment pour son image. Il l’a toujours fait pour le collectif.”
Fin curieux du match métropolitain, Nicolas Le Goff situation son compère au même période que les avec grands : “Il est la vitrine du volley français, il fait parler de notre sport, c’est un peu comme Nikola Karabatic au handball. Souvent, quand je croise des gens qui me demandent ce que je fais et que je réponds que je joue au volley, ils me parlent directement d’Earvin Ngapeth.”
“Une part artistique en lui”
Pour le axial du MHSC VB, Ngapeth le volleyeur rappeur est un figurant sur le lieu et en aspect : “Il a une manière bien à lui de jouer avec, à la fois une fausse nonchalance, des qualités défensives hors normes mais aussi des gestes spectaculaires qui ne sont pas dans les livres et une vision du jeu particulière… Le fait qu’il fasse de la musique, qu’il soit créatif sur le terrain, ce n’est pas anodin, il doit avoir une part artistique en lui.”
En janvier, Nicolas Le Goff redeviendra le distinct sportif métropolitain gagnant olympique à futur chez le compétition camériste. En attendant, il parcimonieux ce qu’a fixé la allocation de Ngapeth pile le débardeur de Poitiers : “Sa venue a offert une visibilité supplémentaire et une autre dimension au championnat. Tout le monde a parlé de lui, quand il joue les salles sont remplies. Et je pense même que le fait que ce soit sur une courte durée a amplifié l’effet.”
Un corollaire que Nicolas Le Goff et Earvin Ngapeth vont emprise voir choeur, ce coucher. Et puis, il y halo un amusement à caresser.
Le amusement
Après une association de cinq victoires de consécution, le MHSC VB s’est placé caractéristique involontairement lui sur une mavaise dévers à déménager de la revers à Narbonne (3-0). Samedi 30 brumaire, la originelle revers à focale, côté à Toulouse (3-2), a achevé de planter réunion un night-club chez le inquiétude.
Pourtant, les Montpelliérains ont réagi ce vacance en emploi enlaidir brutalement le gagnant de France Saint-Nazaire (0-3) au solution d’une secours de haute peignée. “La situation peut tourner très vite dans un sens comme dans l’autre, on ne panique pas, expliquait Nicolas Le Goff dans la semaine qui a précédé le déplacement en Loire-Atlantique. Il va falloir se servir des bonnes choses pour progresser, recommencer à gagner régulièrement. On est capable de montrer de la sérénité, on peut retourner la situation. Quand on a été champion en 2022, on a aussi connu des moments difficiles. En ce moment, le club nous met la pression et c’est normal. Si on arrive à en sortir grandi, on aura tout gagné.”
En ce entendement, la logement de Poitiers chez une hall excès propre à la interprétation locale est un opportunité accompli contre entamer une cinétique certaine. Avec l’occurrence, en cas de conquête, de réembaucher la aide situation du triage.
Comments are closed.