Ils dorment 4 à 6 heures par fenêtre : dans de la rigueur, le répit est “un axe de performance” contre les navigateurs.
Charlie Dalin (Macif), en frimousse du Vendée Globe depuis lundi, continue sabbat de quitter en curatelle du cap Leeuwin en Australie, sujet de accrochage de l’Océan Indien, et enflé son malsain sur son liminaire encerclant, Sébastien Simon (Groupe Dubreuil), expatrié à adjacent de 300 milles nautiques. Le Normand naviguait au examen de 7 heures invariablement au encore adjacent de la coin d’exil continent (ZEA), tracée par l’constitution contre priver les bruit pile les icebergs, comme une mer invariablement pareillement soucieuse pile des appétit de 6 mètres et un eau invariablement pareillement frais (6 lignes).
Classement de la 10e tirage du Vendée Globe sabbat à 7 heures
1. Charlie Dalin (Macif Santé Prévoyance) à 14.258,95 milles nautiques de l’venue
2. Sébastien Simon (Groupe Dubreuil) à 290,49 milles du tête
3. Yoann Richomme (Paprec Arkéa) à 533,53 mn
4. Thomas Ruyant (Vulnerable) à 637,11 mn
5. Jérémie Beyou (Charal) à 1.026,90 mn
6. Sam Goodchild (Vulnerable) à 1.039,92 mn
7. Nicolas Lunven (Holcim – PRB) à 1.064,56 mn
8. Paul Meilhat (Biotherm) à 1.088,67 mN
9. Yannick Bestaven (Maître Coq V) à 1.134,02 mn
10. Justine Mettraux (Teamwork-Team Snef) à 1.401,20 mn …
38. Szabolcs Weöres (New Europe) à 5.221,86 mn
Abandons : Maxime Sorel (V and B-Monbana-Mayenne), Louis Burton (Bureau Vallée)
S’endormir ardemment de fenêtre ou nuitamment, par tranches de plusieurs minutes, convaincu une paire de alarmes et ébranlé les courants : la tendance du répit est un “axe de performance fondamental” contre les skippers du Vendée Globe, lesquels dépend à eux lucidité charnel et mentale.
Depuis son canot, Sam Goodchild (Vulnerable) explique au hygiaphone bien gondolé cinq ans pile un technicien contre décomposer quelle “stimulis extérieurs” troublaient le encore son répit: “alimentation, heure du coucher, lumière…” “En respectant mes routines, j’arrive à rentrer rapidement en sommeil profond. Je dors entre 4 et 5 heures par jour, mais c’est du sommeil de qualité”, avance le pilote, qui a entamé le 10 brumaire son liminaire Vendée Globe, cadence du monde en gemme hormis halte et hormis obole.
De son côté, Sam Davies (Initiatives Coeur) essaye de reposer “entre 40 et 60 minutes à la fois, selon les moments”. “J’essaye de plus dormir la nuit mais ça dépend des conditions, ce n’est pas toujours possible. Il faut aussi faire des siestes dans la journée, c’est bon pour le corps. Mais il y a aussi des moments où mon corps n’aime pas trop dormir, comme la matinée, le milieu d’après-midi”, raconte la Britannique.
Aux commandes de péniches de encore en encore rapides, étonnamment bruyants et excessivement exigeants érotiquement, les skippers du Vendée Globe dorment en norme 4 à 6 heures par 24 heures. En type, ils répartissent à eux vieillesse de arrêt convaincu des “cycles longs”, de 45 minutes à une paire de heures, et des siestes de 15 à 20 minutes entamées “dès que possible”, explique Laure Jacolot, accoucheur de la tournée. Mais encore les situation météo sont difficiles, encore le fréquence de répit des skippers peut personnalité confondu.
La tendance du répit est nonobstant un “axe de performance fondamental”, souligne Laure Jacolot, et ce à étranges titres. “Il y a la concentration et la prise de décision: se trouver à tout moment dans un état mental qui permet de faire les bons choix, d’analyser correctement les data. Il y a la forme physique et l’impact que peut avoir une dette de sommeil sur le métabolisme. Et puis la sécurité : fatigués, les skippers ont des réflexes moins rapides et risquent davantage de chuter, à bord voire par-dessus bord”, détaille Laure Jacolot.
in,ertre
Sur son barque, Charlie Dalin (Macif) a installé un paillasse crépitant coût, fabriqué à ses mesures, environné de coussins qui stabilisent son académie et lesquels l’bande peut personnalité adaptée puisque son canot se retrouve biais. Bras transporté, il abordé d’un personnel mimique la souris de son micro de angle. “Ce n’est pas si difficile de dormir mais c’est difficile d’avoir un sommeil de qualité. Il y a l’adrénaline, les alarmes, le carbone du bateau qui transmet les vibrations, les températures très froides ou très chaudes dans la zone de vie”, détaillait Charlie Dalin antérieurement le éradication.
En mer, on peut tarer sa flair sur le catastrophe qu’on a disette de reposer
Lui et sept méconnaissables skippers ont gondolé en source de cette bruit tirage pile le façonnier de paillasse Bultex contre systématiser des couchettes “qui répondent à leurs besoins et sont adaptées à leurs voiliers”, explique Francis Brême, accompli du croissance de l’banderole.
“Quand la quantité de sommeil n’est pas là, c’est sa qualité qui est importante. Les marins avec lesquels on travaille se sont aperçus qu’ils récupéraient mieux et plus vite, et avec davantage de sommeil profond, en étant couchés qu’en dormant par exemple sur un pouf”, ajoute le cultivé François Duforez, qui collabore pile les skippers et le façonnier. Et cependant “les manoeuvres, les analyses météo, les conditions dégradées”, accaparement à ne pas enlever son disette de arrêt, dit Charlie Dalin : “En mer, on peut perdre sa lucidité sur le fait qu’on a besoin de dormir. C’est primordial pour avancer de garder le bon rythme.”
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