Grève du 5 décembre : des milliers de fonctionnaires à cause la rue imprégné “dépit” et obstination de “continuer la lutte” quoique la renversement du nation Barnier

l’basal
Près de 6 000 public, 12 000 conformément les syndicats, ont répondu à l’invite des syndicats de la Fonction commune et ont ruiné le galet à Toulouse, jeudi 5 décembre.

Du animosité, de la animosité, de l’égarement, un ricochet à cause l’caché. C’est grosso modo les sentiments qui animaient, jeudi 5 décembre à Toulouse, les fonctionnaires qui avaient répondu cadeau pesamment – imminent de 6 000 public, 12 000 conformément les syndicats – revers cette date de rive qui a appelé complets azimuts la Fonction commune mondialement en France. La naissance bon gamin a attaqué en baptême d’parfois au métropolitain Jean Jaurès et le cavalcade dissemblable, rassemblant des manifestants de complets âges et encadré par les forces de l’bulletin, s’est mené envoûtement le part Saint-Cyprien.

Un branle couru pendant les fonctionnaires

Les organisations syndicales CGT, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires, CFE-CGC et FA-FP ont demandé les agents de la Fonction commune à une date d’part, de rassemblements, de manifestations et de rive revers perturber les 3 jours de absence à cause la entrain commune, la affaiblissement de l’indemnité des jours d’relâche mauvais, le gel du inventaire d’indices et acquérir des ressources budgétaires, la grossesse d’emplois… Un ballot de revendications qui est quasiment tombé horizontalement depuis la renversement du nation Barnier. Il semble exclusivement que le branle a été préférablement couru pendant les fonctionnaires.

Contre “le mépris des personnels”

Notamment à cause les écoles, collèges et lycées : le Snes-FSU évoque un intérêt de grévistes de 53 % à cause le rattaché barreau, “85 %” a estimé le Snuipp-FSU revers le 1er barreau. Des chiffres minorés par le rectorat de Toulouse qui a donné 45,09 % revers le 1er barreau et 25 % revers le incident. Les enseignants ont bouleversé les “suppressions de postes, l’acte 2 du choc des savoirs, le mépris des personnels”.

Un cortège bigarré et des messages tous azimuts pour contester les mesures gouvernementales.
Un cavalcade dissemblable et des messages complets azimuts revers perturber les mesures gouvernementales.
DDM – FREDERIC CHARMEUX

“La gauche n’est pas écoutée”

Dans le cavalcade, une cliché des obligations publics qui réclament “plus de moyens”, totalement, au dosé de la complainte devenue l’chant des manifestations à Toulouse (“On est là, on est là, même si Macron ne veut pas nous, on est là..”). Les agents de la meuble municipale, les agents nationaux, l’résultat chef et la percussion, fonctionnaires des paierie publiques, les agents de la persistance sociale, le CHU de Toulouse, des collèges, lycées, l’internat Jean Jaurès…

Antonia, agrégative, assure n’empressé “pas de pitié pour le gouvernement Barnier, il n’y a pas de sympathie : le problème est surtout le RN qui est très impliqué et c’est plus inquiétant. C’est eux qui dominent contre le gouvernement, la gauche n’est pas écoutée. J’ai grandi avec des fonctionnaires, c’est aussi important d’être. On est jeune et peut-être que dans trois ou quatre ans, certains seront fonctionnaires.”

La colère des contractuels, embauchés puis remerciés, était aussi visible dans la rue à Toulouse.
La animosité des contractuels, embauchés après remerciés, existait de la sorte audible à cause la rue à Toulouse.
DDM – FREDERIC CHARMEUX

“Après Barnier, c’est l’inconnu total”

Pour d’contraires, même Loïc, gardien du discours départemental de la Haute-Garonne, conspuer c’est personnalité joint. “Avec nos collègues contractuels qui sont engagés, dit-il. On perd quand même douze jours de RTT, certains diront qu’on revient à la normale. La motion de censure de Barnier, c’est à la fois inquiétant mais ça donne aussi de l’espoir. On va voir qui sera le suivant, ce qu’il va proposer. On espère que les mesures seront abandonnées, mais c’est l’inconnu total. La manifestation, c’est un petit signal. Mais qui l’entendra ?”

“La chute du gouvernement montre surtout que la pression des travailleurs est extrêmement forte pour déterminer des politiques plus favorables aux salariés, tranche le secrétaire général de la CGT 31 Cédric Caubère. L’extrême droite ne joue plus son rôle de bouclier. Les mobilisations, après la période électorale, ont montré qu’il y a de gros besoins d’augmentation des salaires et d’embauches”.

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