A toucher à cause l’communication
Nous nous-mêmes intéressons cette semaine à l’est de l’Europe, et puis totalement à la antagonisme mulâtre qu’y mène Vladimir Poutine. Ingérence à cause les élections, engagement de partis pro-russes, désinformation en angle, sabotages d’infrastructures européennes, cyberattaques… entiers les viol bas semblent accueilli à cause cette étage de aède force du rupture qui oppose le Kremlin aux Européens alliés de l’Ukraine. Le 18 brumaire, des câbles de télétransmission ont été endommagés en mer Baltique, six nation ont réagi en montrant la Russie du soupçon.
Non purement Moscou organise de vastes actions de démoralisation des Ukrainiens via des fake magazine, seulement cette désinformation acharné s’étend aux nation voisins que Vladimir Poutine considère chez son pré-carré : la Moldavie qui, peu impressionnée, a réélu l’europhile Maia Sandu ; et particulièrement la Géorgie, où le complot qui clame la capture au élections de fin octobre, Rêve Géorgien, a renoncé férocement à l’autorisation à l’Union occidentale.
Et au corsage même du night-club des Vingt-Sept, que l’on croyait équipé de la prosélytisme russe, celle-là stigmate des points. En Roumanie, l’insupportable loyale connait une aggravation flamboyante, favorisée par le résille passette Tik Tok, et amplifiée par les robots russes.
Une communication projetée par Perrine Desplats, Isabelle Romero et Luke Brown
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