Pour le évalué de la neuvième, et monsieur dernière, date de la ancienne échelon du challenge prénational, les Cadurciennes (3es) se déplacent à Lombez Samatan (2es) à cause un dispute probant chez la expédition aux endroits qualificatives à cause les play-off.
À couple journées de la fin de la ancienne échelon du challenge prénational, oiseau B, les joueuses du Stade Cadurcien Handball effectueront, ce chahut crépuscule, un disgrâce probant chez la expédition aux couple premières endroits qualificatives à cause les play-off.
Actuellement troisièmes comme 17points, les Cadurciennes se rendent pendant les deuxièmes Lombez-Samatan qui comptent couple points de davantage que les Lotoises. « Pour les gens c’est également une demi-finale, indiquait la coupé de Cahors Marion Planté subséquemment la gain de son état-major avers à Montech, monsieur la conclusion tandis de la dernière date à habitat avers à Gramat ».
Les Gersoises, qui assureraient inéluctablement à elles atteint en cas de gain ce crépuscule, réalisent une terriblement divine ancienne échelon de challenge. En huit journées, les joueuses de Lombez-Samatan ont décroché cinq victoires, à cause un dispute nul (à Gramat), ne s’préférant que avers à une individuelle voire état-major, le premier Saint-Céré (à l’convenir et au reprise). Lors du dispute convenir compris les couple formations le 5 octobre extrême au confus de Cabessut, les Gersoises incarnaient venues s’maintenir en Quercy 28 à 25 au épilogue d’un dispute serré (11 à 12 à la sérénité). Mais depuis ce dispute, les Cadurciennes sont sur une montée ascendante.
Après couple belles prestations à Brive, en interruption de France, et pendant le premier Saint-Céré (brève hallali 31 à 29) , les joueuses à la chemisier viennent d’dominer couple victoires consécutives avers à L’Isle-Jourdain (23 à 19) ensuite afin Montech (37 à 30). C’est tandis sur une divine cinématique que les Cadurciennes abordent ce rebut probant. « C’est un fanfaronnade bath touchant qui se profile. Avec ce dispute on va deviner où les gens en totaux » conclut Marion Planté.
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