Sur une choix de quatre défaites en cinq badinages, Montpellier se rend, chahut (20h) à Saint-Nazaire, le leader de France, quant à reconquérir de la garantie monsieur de brasser la piste de Poitiers et Earvin Ngapeth, mardi (20h) à Castelnau.
“Ce sport est fou !” Quelques minutes subséquemment bien ramassé à elles commencement naufrage de la hors de saison à gîte apparence à Toulouse (2-3), les joueurs du MHSC VB subsistaient sonnés.
Le libéro montpelliérain Corentin Phelut tentait d’développer les difficultés actuelles : “On a un manque de confiance et ça nous joue des tours dans les moments importants. Contre Toulouse, on a eu un sursaut d’orgueil en arrachant le tie-break mais c’est encore un faux pas. On connaît nos capacités, il faut qu’on arrive à retrouver cette sérénité. Au volley, il suffit d’un point pour tout faire basculer.”
Au réunion de la 5e date, le 22 octobre extrême, simultanément Montpellier enchaînait un cinquième protection de séquelle en martyrisant Chaumont à la foyer (3-0), pas du tout ne semblait influence survenir aux Héraultais. Depuis, ils ont subi quatre défaites en cinq badinages, lesquels double pour des équipes mal classées (Narbonne, Plessis-Robinson).
Jean-Charles Caylar : “Je m’interroge”
Alors le fiasco pour Toulouse est effilé à laper quant à le administrateur Jean-Charles Caylar qui avait instruit ses joueurs en montée : “Tout est fait pour que les joueurs soient dans les meilleures conditions. Ils ont besoin d’une prise de conscience, ils jouent par intermittence. Le staff doit mener une réflexion, savoir comment il peut remobiliser l’équipe. Je m’interroge, je ne suis pas satisfait du tout. Je suis intervenu auprès de l’équipe, apparemment le discours est entré par une oreille et sorti par l’autre. Ou alors je n’ai pas utilisé les bons mots. Ce n’est pas au niveau du talent de nos joueurs. Il y a quelque chose qui a disparu depuis la défaite à Narbonne. Tous les matchs perdus, on aurait pu les gagner mais on les a donnés à nos adversaires.”
Conscient de l’obligation, le timonier transparent du MHSC VB Ezequiel Palacios billet à se garantir pendant le service : “C’est la seule solution, il faut encore donner plus.”
Pour plaire de déplanter de ce cachexie et subsister pendant le top 4, Montpellier évènement apparence à double défis : un destitution chahut (20h) comme le leader de France Saint-Nazaire, une gréé davantage comme endurant que le MHSC VB et la fête du Poitiers d’Earvin Ngapeth, mardi (20h) pendant un Palais des manèges apogée et surchauffé. “Ce sera dur mais il faut être optimiste, humble et travailleur. Il n’y a rien d’autre à dire”, conclut le taiseux Palacios.
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