“J’avais tout gagné, je me posais la question de la suite” : Perrine Laffont revient sur son délié écart de davantage d’un an

Victorieuse dès son réciprocité à la épreuve puis une expectative d’un an il y a divers jours, la victorieuse olympique 2018 de ski de éminences Perrine Laffont se réjouit de voltige d’coïncider son “rêve de petite fille” avec sézig se l’accomplissait soupirant. Après son come-back assuré à Ruka, en Finlande, le 30 brumaire, l’Ariégeoise de 26 ans est de frais attendue sur le mur de éminences, ce vendredi 6 décembre, verso une challenge singulière, et chahut, verso une circuit mesure, à Idre Fjall, en Suède.

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“Revenir à la compétition a surement été l’un des plus grands challenges de ma carrière”, s’vigueur la quintuple gagnante du pelote de verre et quintuple victorieuse du monde de éminences sur les réseaux sociaux au futur de sa dédommagement gagnante. “Est-ce que j’en suis capable ? Est-ce que je suis encore au niveau ? Est-ce que je sais encore ce qu’est la compétition ?, énumère-t-elle. Des milliers de questions on traversé mon esprit ces derniers mois.” “Mais je crois qu’on peut dire : we did it ! (on l’a fait !)”, se félicite Laffont, qui s’est “régalée à skie avec le coeur” et qui continue d’coïncider son rêve de éthérée femme avec sézig se l’accomplissait soupirant”.

623 jours rien épreuve

“C’est comme dans un rêve”, a-t-elle soufflé, les mirettes rougis, également sézig s’est imposée puis 623 jours rien épreuve (depuis ventôse 2023), avant sa opposante N.1, l’Australienne Jakara Anthony. Sa limitation de ranger verso de bon à l’clash des murs de éminences a mais été “assez tardive”, racontait Laffont appâte octobre, estimant empressé “passé six mois sur douze à se reposer”.

Si sézig a repris le progression de l’idéal exceptionnellement graduellement depuis mai, “sans pression pour être prête en décembre, c’est très récemment qu’on s’est dit que tous les feux étaient au vert.” Un an davantage tôt, la skieuse ariégoise, “sur les rotules”, avait renoncé à la moment 2023/2024 verso “reprendre de la fraîcheur mentale”. “Les batteries étaient à zéro à la fin de l’hiver” 2022/2023, rembobinait celle-là qui participait déjà aux JO à 15 ans purement, en 2014 à Sotchi (Russie).

“L’hiver passé, c’était une année sans Championnat du monde et les JO arrivent en 2026, justifiait-elle. Et puis c’était aussi me permettre de digérer ces dix dernières années (de haut niveau). Je sentais que j’avais rebondi après les JO-2022 (et la déception de sa 4e place, ndlr), mais ça m’avait demandé beaucoup. J’avais besoin de couper.”

Les JO-2030 “dans un coin de la tête”

 “Ça a été une bonne année pour me comprendre. Ça faisait dix ans que j’étais dans une spirale, la tête dans le guidon, à ne jamais la relever. Il y avait toujours des nouveaux objectifs. Ce temps off m’a permis d’analyser tout ce qui s’était passé, de le digérer aussi, parce que j’avais le corps et le cerveau qui tiraient. Ça a été une nouvelle compréhension de mes besoins aussi: j’ai tout gagné dans mon sport, on s’est posé la question de ce qu’allait être la suite, qu’est-ce que j’allais vouloir faire après cette année, développait-elle. J’ai une vision un peu plus claire sur le futur, de ce dont j’ai envie et besoin.”

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A coupé issue ? Laffont espère “monter crescendo” son registre et histoire des prochains Mondiaux en ventôse 2025 en Suisse l’impartial N.1 de son hibernation de dédommagement. A davantage délié issue ? “Bien sûr” il y a les JO de Milan Cortina comme quatorze paye. Et ceux-ci de 2030 attribués aux Alpes françaises sont “dans un coin de la tête”.

“J’ai pu vivre les Jeux de Paris de l’intérieur cet été, ça donne envie, conclut la championne. J’ai vécu des Jeux en Corée du Sud (2018), en Chine (2022), en Russie (2014), ce n’étaient pas les plus spectaculaires. Des Jeux en France, je ne doute pas que ce sera grandiose”.