Ce sabbat, le Parti Socialiste du Lot s’est retrouvé à Montamel quant à sa coutumière danse de la rosâtre. Christophe Proença, sénateur, et Jean-Marc Vayssouze, mandataire, ont décrypté l’incident machiavélisme, et singulièrement le la déchéance du économat Barnier, provoquée par un comptabilité brouillé et un 49.3 qui a document écumer le dépôt.
C’subsistait le 49.3 de démesurément. Ce mercredi, le maître du économat l’a activé quant à affaisser franchir le comptabilité de la Tranquillité sociale en affecté, un brouillon nonobstant extrêmement controversé. En bref, 331 députés de obtus et du Rassemblement National ont voté une proposition de exclusion. Depuis, Michel Barnier a démissionné, et la France se retrouve, à débutant, parmi le brumeux et sinon économat.
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Une incident qui a document jacasser, ce sabbat, comme que le Parti Socialiste du Lot célébrait sa coutumière danse de la rosâtre, à Montamel. Un lucarne eurasien subsistait régenté dans Christophe Proença, sénateur, et Jean-Marc Vayssouze, mandataire, quant à jacasser de ces actualité complexes.
Christophe Proença : “Je n’ai pas de remords à avoir voté la motion”
“La dissolution en juin, je ne l’avais pas anticipé. Puis, pendant deux mois, on a attendu qu’il nomme un Premier ministre. Et là, il veut chercher quelqu’un le plus rapidement possible”, commence Christophe Proença, qui n’a “pas de remords à avoir voté la motion”. Ce terminal fustige de nombreuses propositions sur le comptabilité : la résiliation de 4 000 postes d’enseignants, une droite flexion de l’Aide médicale d’Détail (AME) “alors que même les médecins disent que c’est une connerie”.
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“On a beaucoup travaillé à l’Assemblée. Nous avons proposé environ 150 amendements pour rendre les choses plus justes. Aucun n’a été retenu. Le projet est resté aussi injuste. Le gouvernement a négocié avec le maître chanteur, qu’est le RN, or il ne fallait pas y céder”, concède le sénateur socialiste. Ce terminal conclut : “Depuis deux jours, on parle du PS. On porte un message de raison. On demande un Premier ministre de gauche”.
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Jean-Marc Vayssouze : “Le Mozart de la finance nous a mis dans une situation catastrophique”
En devenant mandataire, l’vétéran magistrat de Cahors n’aurait pas fabriqué “autant de moments d’incertitude et de crise”. Ce terminal projeté homogène que la obtus ait voté la proposition de exclusion quant à hétérogènes raisons. “Je n’ai pas compris comment il y avait eu une telle dérive budgétaire. La France est quasiment la plus mauvaise élève d’Europe. Le Mozart de la finance nous a mis dans une situation catastrophique”, souffle-t-il. Il décrit un comptabilité qui prévoyait une “casse terrible” des charges publics, desquels la obtus est nonobstant extrêmement attachée. Et capote, le mandataire regrette “la façon dont nous avons été traités”. Il s’explique : “Barnier disait que le RN était la clé. Jusqu’au bout, il a négocié avec eux. C’est un mépris total”.
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Cependant, en beaucoup que mandataire, il n’a pas eu à élire. S’il avait été sénateur, Jean-Marc Vayssouze confie ne pas connaître s’il aurait voté la proposition de exclusion. Il conclut : “La vacance du pouvoir affaiblit la France. Il faut une personnalité de gauche au pouvoir, d’autant plus que le Nouveau Front Populaire était arrivé en tête aux législatives”.
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