Pour Patrick Borde, serpentaire départemental de la FSU, l’avertissement de la blâme du gouverne Barnier est “plutôt une bonne nouvelle”. Et c’est particulièrement l’faux-fuyant des principes de l’Assemblée nationale, surtout la fin des discussions alentour du commencement de loi de soutien de la calme sociale qui a fondé la jour nationale de convocation prévue ce jeudi 5 décembre, qui radieux le accrédité syndical. “Ça signifie aussi la fin du projet de loi qui prévoyait la suppression de 4 000 postes d’enseignants, et la démission des ministres Guillaume Kasbarian, dont la nomination à la Fonction publique était une provocation, et Annie Genetet qui a montré qu’elle ne maîtrisait pas les dossiers”, ajoute-t-il.
Du côté de FO Santé, Yannick Bonnafous avertissement une “réaction mitigée. Parce que ce n’est pas parce que le gouvernement est censuré qu’on résout tous les problèmes, qu’il y a plus de lits d’hôpitaux. Et si le prochain gouvernement continue dans cette ligne, c’était reculer pour mieux sauter. À FO, on ne fait pas de politique, mais tout ce qu’on espère, c’est que le prochain gouvernement aura une ligne plus humaniste que le précédent”, souhaite-t-il.
La convocation de ce jeudi 5 décembre appoint maintenue : “Nous avons besoin de faire entendre nos revendications pour les services publics et les fonctionnaires, y compris au gouvernement qui va arriver par la suite”, souligne Patrick Borde.
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