Lors de sa dernière rassemblement, le conférence fédératif de la CCHB a voté un duo de délibérations ascendant sur son contrat chez la hauteur du parterre des Pyrénées.
Dans la ponctualité de son charpente aux travaux machination par l’Agence des Pyrénées, la Communauté de Communes de la Haute Bigorre (CCHB) acte pourquoi un pas second en ce préférence, d’une quartier, en adhérant à l’annexion Agora Pyrénées, “structure œuvrant pour le développement économique, social et touristique des Pyrénées”, et d’dissemblable quartier, en apportant son charpente boursier à l’ablation de sauvetage de Pyrénées Magazine.
Confédérer les EPCI de la clôture des Pyrénées vers encourager le parterre
Si la CCHB déploie changées démarches vers “renforcer son attractivité et dynamiser son tissu économique local”, vers ne produire que l’prototype de l’amplitude de coworking “La Dynamo” qui vient d’honorer une neuve procès, lui-même souhaite de la sorte jouir de de l’étude en la science d’Agora Pyrénées. Celle-ci assure singulièrement des travaux de entente et de charpente aux initiatives locales toutefois c’est autant l’annexion qui clôture le commencement de la estampille Pyrénées, “une démarche collective visant à renforcer l’identité et le rayonnement des Pyrénées tant au niveau régional que national et à fédérer les actions publiques et privées autour d’une vision commune”.
Ainsi, quand le stipule la délibération, qui a été votée à l’consentement, “l’adhésion à Agora Pyrénées permettra à la CCHB de contribuer au rayonnement du territoire, d’être associée et valorisée au travers des différentes actions de communication de la marque, de bénéficier d’un réseau d’expertise professionnel pyrénéen, d’accompagnement et de soutien pour le développement de projets structurants, notamment dans les secteurs du tourisme, de l’économie locale et de la valorisation patrimoniale”. Le généralité aussi une adaptation annale de 1 000 €.
“On est dans le prolongement de la mise en place de l’Agence des Pyrénées. Ici, il s’agit de regrouper les EPCI (NDLR. Établissement public de coopération intercommunale) du massif sachant que, autant les départements et les régions sont organisés quand il est question de traiter avec l’État, autant les EPCI sont dispersés. C’est donc un moyen aussi de fédérer les EPCI”, a éclairé le directeur de la CCHB, Jacques Brune.
“Il faut sauver Pyrénées Magazine”
Dans la même mécanique de hauteur du parterre pyrénéen, la phalanstère intercommunale apporte son charpente au sauvetage de “Pyrénées Magazine” en souscrivant des parts sociales à “M’Pyrénées”, la Société Coopérative d’Intérêt Collectif créée le 4 septembre 2024 vers rengager ce mensuel métaphorique du parterre dédié à déménager.
“On a été sollicité, comme toutes les organisations du massif, suite à l’annonce de disparition imminente du magazine après que le groupe Bayard, qui a repris les éditions Milan Presse, a changé de stratégie éditoriale et annoncé se défaire de certains magazines régionaux, dont ceux de Bretagne, des Alpes et des Pyrénées. Chaque région essaie de trouver des solutions. Chez nous, il est proposé de rejoindre cette société coopérative pour la simple légitimité qui est celle de sauver Pyrénées Magazine. Je rappelle que ce magazine a déjà rendu un certain nombre d’articles sur notre secteur”, a accentué Jacques Brune.
Le conférence a donné son feu piquant vers opiner 10 parts sociales d’une courage unitarien de 100 € (ou bien 1 000 €) au blason de la enduit des acteurs publics. À ce blason, un envoyé élu pourra remplir le intègre de consultation chez les agences générales.
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