La NASA honore des parcs naturels algériens sur Mars

Vue prise en 1976 en Algérie, dans le Sahara central, des formations montagneuses du Tassili n’Ajjer.

Des parcelles de Mars ont été baptisées du nom de parcs naturels d’Algérie, dessous l’balancement du physicien Noureddine Melikechi, affilié de la objectif martienne de l’comptoir étasunienne NASA, qui explique à l’Agence France-Presse (AFP) désirer pourquoi entraîner l’assiduité sur la menace de la Terre. Trois sites martiens sont désormais répertoriés pile les noms des parcs territoriaux du Tassili n’Ajjer, de Ghoufi et du Djurdjura, impérative M. Melikechi, orgueilleux de ce fait de redonner vénération à son tribu originaire.

« Notre monde est corruptible et c’est un alarme lancé au monde dans boire circonspection de nos parcs territoriaux, qu’ils se trouvent en Algérie ou autre part », explique M. Melikechi, interviewé aux Etats-Unis par l’AFP-TV. Pour le constructeur, l’désignation de noms algériens à nombreux sites martiens se démontré singulièrement par à eux pesante association.

« Le chef qui m’est survenu à l’caprice, ç’a été le Tassili n’Ajjer », raconte M. Melikechi, éloigné d’Algérie en 1990 dans les Etats-Unis, où il écriteau à l’lycée de Massachussetts Lowell. Le Tassili est un difficile chariot stérile du Sahara, individualisé par des formations rocheuses dominant des dunes, classé par l’Unesco dans la assemblée de tableaux préhistoriques réconfortant au moins à douze mille ans. « Chaque coup que je subsistes des photos de Mars, ceci me rappelle le Tassili, et actuellement, également je subsistes le Tassili, ça me rappelle Mars », souligne le physicien.

Plusieurs tableaux montrent des géants à un autonome œil et à cornes, que l’paléographe métropolitain Henri Lhote avait qualifiés de « grandes dieux martiennes » là-dedans un muni métaphorique en 1958, A la dissection des fresques du Tassili. « Ces tableaux sont une trace, un muni qui raconte pardon les multitude présentaient jadis. On y voit des troupeau, malheureusement de ce fait des personnages qui semblent affluer d’autre part », hâtif le constructeur. Ils auraient été dessinés, subséquent certaines pluies, puis liquide de substances psychotropes par les populations préhistoriques.

Des « trésors » à « protéger »

Le canyon de Ghoufi, un révolu coin habité au paturon de l’noble trapu des Aurès, là-dedans l’est de l’Algérie, a été le inférieur adoption de M. Melikechi. Selon lui, les habitations creusées là-dedans la hauteur, puisque classées par l’Unesco au Patrimoine global, y témoignent de la résilience terrienne. « Ghoufi vous-même cédé le sympathie que la vie peut appartenir ferme malheureusement que vous-même pouvez y affluer, au réussite du budget : ces rochers ont survécu, la regain a survécu et les humains de ce fait, développe M. Melikechi. Si vous-même regardez les images de Ghoufi, elles-mêmes ressemblent à certaines zones de Mars et mettent en médiocrité le alinéa du siècle et la exécution lequel les planètes changent. »

Le tiers appentis, le Djurdjura, une grille de montagnes enneigées située à 140 kilomètres à l’est d’Alger, ressemble simplement moins à Mars que le Tassili ou Ghoufi, malheureusement M. Melikechi l’a offert dans concevoir « la finances des habitats naturels ».

Selon le physicien, le mouvement de désignation a été lancé puis l’pose en 2021 de l’astromobile Persévérance là-dedans une concours inexplorée de Mars. La zodiacaux a été divisée en « quadrants » à purifier individu de les censurer. « On nous-mêmes a demandé des noms, j’ai suggéré ces trio parcs territoriaux, lors que d’contraires ont offert des parcs du monde fini. » Une pourvu a derrière mesuré et cité les noms définitifs.

L’alerté touchant les sites algériens, faite par la NASA en aleph de appointement, a rieur médias locaux et autorités. Le consul de la agronomie, Zouhir Ballalou, s’est béatitude d’une « autocritique mondiale et diachronique » des richesses « naturelles et culturelles » de l’Algérie. Ces dernières années, le régie algérien s’efforce de impulser le tourisme, singulièrement là-dedans le Sahara, à défaut la autonomie de visas à l’atterrissage. Environ 2,5 millions de touristes ont visité l’Algérie l’an passé, un numéro performance dans les vingt dernières années.

M. Melikechi espère que les nouvelles dénominations vont entraîner plus de visiteurs là-dedans son tribu d’formation. « Ces places sont des trésors lequel nous-mêmes, humains, avons hérité. Il faut parfaitement les protéger. »

Le Monde pile AFP

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