Dans un article dissonant en étape du 30 brumaire terminal, Le Figaro évoque la conditions gouvernant nationale en des termes carnavalesques : à le bouquiner, le « vaudeville condamné par le monde gouvernant » a cela de étonnant qu’il embarque l’entièreté du spécial gouvernant, sinon incohérence, à cause un divertissant de « cavalcade de mardi dodu » — des réfractaire, qui n’ont pas goût de se nipper étant donné que « pile eux, c’est entiers les jours le amphithéâtre », au Rassemblement ressortissant qui veut effacer, non pas une, exclusivement un couple de réformes des retraites ; de Marine Le Pen, qui « pique des ultimatums au Premier médiateur chez un meneur syndical », à Charles de Courson, qui requête la désistement du directeur de la Ville, en badaud par Elisabeth Borne qui s’apprête à « décider un compte lequel lui-même n’approuve ni les recettes ni les dépenses ». L’article se conclut en ancrant ce rétrospective peu étincelant à cause une routine caractéristique identifiée : La Nef des fous.
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