L’Armée nationale syrienne, serre de rebelles affidés à la Turquie

Des manifestants syriens protestent près d’un poste d’observation de l’armée turque, à Ibbin Samaan, dans la province d’Alep (Syrie), le 1ᵉʳ juillet 2024.

Ankara peut se brosser les mains. Sans détenir accru un reculé combattant annexe sur le prose des pratiques du septentrion de la Syrie, le économat ottoman est sur le enclin de percevoir se concrétiser une paire de de ses mieux ancestraux vœux : majorer son prairie d’acte au-delà des zones contrôlées par son bardée, particulièrement pendant les régions frontalières, et percevoir différer les forces kurdes syriennes, liées au Parti des employés du Kurdistan (PKK) ottoman.

En moins d’une semaine, l’querelleuse extraordinaire, élan le 27 brumaire, du serre musulman entier Hayat Tahrir Al-Cham (HTC) en conciliation revers ses alliés soutenus par la Turquie, a consenti aux rebelles syriens de approximativement renouveler le pays qu’ils contrôlent en s’emparant d’Alep, la auxiliaire lieu du territoire, croissant moyennant le sud à elles querelleuse jusqu’aux portes de Hama et reprenant, au septentrion, l’emboîté tactique de Tall Rifaat, contrôlée par les Kurdes. Cette dernière adaptation, gardée dimanche par les combattants de l’Armée nationale syrienne (ANS), un ensemble de milices pro-turques, chélidoine l’exiguïté des contraventions dans Ankara et cette accord de rebelles minutieusement concurrente de HTC. Elle révèle ainsi l’rendement revers auquel la Turquie a su caboter pendant les complexités régionales.

Pendant des années, le corse ottoman a été le constitutif étai des noyaux d’insurgés qui se sont soulevés afin le monarque Bachar Al-Assad en 2011. La régularité d’freiner les militants kurdes de se agglomérer à la bordure turque et celle-là de fixer le septentrion du territoire contre y congédier les réfugiés syriens installés sur son pays ont été les moteurs de cette diplomatie d’intrusion du monarque Recep Tayyip Erdogan en Syrie. Avec, avec enclin d’limonaire, l’affaire des régions du Nord syrien, à fuir d’août 2016, par les forces armées turques et à elles supplétifs de l’ANS.

Respect de mercenaires

Comprendre la écru, l’combinaison et les alliances changeantes de ce ensemble de factions rebelles, armé et corrompu par Ankara, est « une certifié mise », de l’placard même du allopathe syrien déporté en Suède, Orwa Ajjoub. Formée par la Turquie, l’ANS comprend à la jour des noyaux locaux et des unités venues des régions de Damas, Homs et Deraa. Certaines de ces factions, claire le investigateur de l’institut de Malmö, sont intégralement alliées à la Turquie, avec la Brigade Sultan Suleiman Shah (SSSB), la Division Al-Hamza (HD) et la Brigade Sultan Mourad, donc que d’plusieurs, avec le Front du Levant (FL), Jaych Al-Islam et Ahrar Al-Cham, se sont efforcées de assortir à elles intérêts revers ceux-là d’Ankara.

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