Le blessure de bouche des élus revélois pour la incliné des subventions : “C’est inacceptable pour des communes comme la nôtre”

l’basal
Les élus revélois sont montés au embrasure ce jeudi 12 décembre lorsque du terminal exposé communal de l’période. Ils alertent sur un agrandissement de la conurbation qui serait freiné par l’cessation de divergentes subventions.

Dans le judas des élus revélois : le balance “inégalitaire” des subventions allouées. “La Région n’a donné que 500 000 € sur quatre ans, annonçait Alain Chatillon, sénateur de la Haute-Garonne et conseiller municipal pour la Ville de Revel. C’est inacceptable pour des communes comme la nôtre.”

Le bourgmestre Laurent Hourquet conte bordereau de “2,2 millions d’euros de subventions du Conseil départemental sur la même période”. “Le plus gros pourvoyeur a été l’État”, ajoutait-il.

“Il y a une inégalité de traitement en cause”, reprochait le pair. “On ne peut pas continuer à assurer notre développement comme cela. Je suis prêt à monter au créneau pour discuter avec les présidents du Conseil départemental et de la Région.”

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Ce commission intervient derrière que la Division a annoncé aux élus qu’lui-même ne participerait principalement pécuniairement au instrument d’assistance à la convalescence des façades. Depuis quatre ans, 21 façades ont été rénovées. “La Région et la commune finançaient à 50-50”, rappelait Michel Ferret, quatrième complémentaire. Si les élus ont coloré de orienter ce instrument, ils admettent que cette interrompu va “limiter certains de nos projets”. “Il y a eu de belles réalisations, notamment rue Victor-Hugo, et je crois fermement qu’il faut continuer, abondait le maire. On ne va pas augmenter notre enveloppe. Il faut qu’on soit capable de mener nos projets à nos capacités, avec des taux d’endettement raisonnables. Mais, ça va être un frein.”

Vers le cap des 10 000 habitants ?

Le compte fondamental sera fini en commencement d’période 2025. Son cherté serait évalué à 30 000 ou 40 000 € vers la grossière. “Comme pour les élections, l’État ne couvre pas les frais en entier, mais nous n’avons pas le choix de faire ou de ne pas faire”, rappelait le bourgmestre.

Au-delà du cherté de ce compte, c’est tablier son obtention qui étoilé le balancement. “Espérons que si nous augmentons le nombre de Revélois, cela ne vienne pas ramasser le nombre de subventions que nous pouvons obtenir”, s’inquiétait Alain Chatillon. À classicisme, si la Ville passage le cap des 10 000 habitants, lui-même ne pourra principalement assurer à certaines dotations. Mais, lui-même deviendrait éligible à d’changées subventions.

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“Certaines villes du Tarn ont environ un million d’euros d’impact après avoir franchi ce cap. Cela sera moins impactant pour nous, car nous l’avons déjà passé en termes de population DGF (NDLR population recensée par l’Insee, en y ajoutant le nombre de résidences secondaires et les places de caravanes conventionnées)”, honneur le bourgmestre Laurent Hourquet, qui restera complet élément observateur.

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