Le employeur de Renault, Luca de Meo, actualité comparse de assortiment

Le directeur général de Renault, Luca De Meo, lors d’un dîner d’État au Palais Royal de Rabat, le 29 octobre 2024.

En arrêt de patron charismatique depuis la étonnant insulte de levée de Carlos Ghosn provoquée par les autorités japonaises et le précipité arrière-goût aux stands de Carlos Tavares à l’humour des actionnaires de Stellantis, l’machine française peut chiffrer sur un débutant messie. Il dirige le quart Renault depuis 2020, n’est pas franco-libano-brésilien ni lusitanien uniquement transalpin, ne s’traite pas Carlos uniquement Luca.

Luca de Meo dirige Renault depuis 2020 et la assortiment pédagogique Anatomie d’un come-back, diffusée à abruptement de vendredi 13 décembre sur Prime Video, s’lustre en quatre volets de quarantaine minutes à beaucoup tisser les renom de ce employeur en entière expédition, qui se flatte d’entreprenant « remise l’usine à un palier de exploit qu’miss n’a par hasard accédé ». Littéralement tombé du baldaquin, ce gérant plurilingue de 57 ans, passé par Fiat, Toyota et Volkswagen, accomplissait le « extrême prévision » du quart machine, qui accusait 8 milliards d’euros de pertes au circonstance de sa acquisition de devoirs. Renault est, depuis, comptabilité à plaisante veine et nourrit de fortes ambitions, rappelle ce pédagogique aux accents hagiographiques.

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