En arrêt de patron charismatique depuis la étonnant insulte de levée de Carlos Ghosn provoquée par les autorités japonaises et le précipité arrière-goût aux stands de Carlos Tavares à l’humour des actionnaires de Stellantis, l’machine française peut chiffrer sur un débutant messie. Il dirige le quart Renault depuis 2020, n’est pas franco-libano-brésilien ni lusitanien uniquement transalpin, ne s’traite pas Carlos uniquement Luca.
Luca de Meo dirige Renault depuis 2020 et la assortiment pédagogique Anatomie d’un come-back, diffusée à abruptement de vendredi 13 décembre sur Prime Video, s’lustre en quatre volets de quarantaine minutes à beaucoup tisser les renom de ce employeur en entière expédition, qui se flatte d’entreprenant « remise l’usine à un palier de exploit qu’miss n’a par hasard accédé ». Littéralement tombé du baldaquin, ce gérant plurilingue de 57 ans, passé par Fiat, Toyota et Volkswagen, accomplissait le « extrême prévision » du quart machine, qui accusait 8 milliards d’euros de pertes au circonstance de sa acquisition de devoirs. Renault est, depuis, comptabilité à plaisante veine et nourrit de fortes ambitions, rappelle ce pédagogique aux accents hagiographiques.
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