Le Lodévois et Larzac anticipe 600 000 € d’économies en 2025 et griffe la vis

Enfance-jeunesse et arboriculture sont les grands perdants du recette de conscience voté jeudi brune en avertissement général, à Lodève.

“””Les budgets étaient à l’ordre du jour ce jeudi soir à Lodève d’un conseil communautaire clairsemé, qui a dû attendre un peu avant de démarrer faute de quorum. Dans un contexte de finances publiques tendues, avec beaucoup d’incertitudes, le Lodévois Larzac a choisi quand même de voter un budget principal de 21 M€ (16,4 M€ en fonctionnement et 4,6 M€ en investissement), en anticipant la perte de plus de 400 000 € liée aux conséquences de “l’ex-future” loi de ressources de l’Etat. Il a sarrau permission au directeur Jean-Luc Requi et à son vice-président David Bosc de formuler les arbitrages évoqués 15jours alors tôt alors du comité d’aiguillage gestionnaire.

Des mesures restrictives

“Vu l’état des finances publiques, rien ne laisse espérer des améliorations. Attendre, ce serait repousser des mesures d’économie qu’il nous faut prendre dès le début de 2025 pour éviter de fragiliser encore plus la collectivité, explique Jean-Luc Requi. Il sera temps en juin de rectifier lors de notre budget complémentaire quand on aura des éléments précis.”

Une assemblée clairsemée pour le conseil, à l'ordre du jour pourtant capital pour l'avenir de la collectivité.
Une cabinet clairsemée dans le avertissement, à l’cadence du hublot néanmoins bien dans l’ultérieur de la corps.
ALAIN MENDEZ

“Nous avons appétence d’une économise claire vaniteuse dans délicat à nous balance pluriannuel d’investissements et léguer des ressources correctes à nos successeurs en 2026. Cela veut affirmation alors de 600 000 € à présager, en anticipant itou une rabais de 50% des subventions du District. Tous les fonctions sont concernés par des mesures restrictives, ajoute David Bosc. Notamment paire, chérot, qui devront entreprendre de épais efforts.

“Nous réorganiserons le fonctionnement du service Enfance-jeunesse dans le respect des taux d’encadrement, pour une économie de 220 000 €” détaille le directeur. Autre situation éperdument impacté, la arboriculture. “On va réduire d’un jour le festival et enlever des spectacles sur la saison de Résurgence pour une économie de 50 000 €. Nous réduirons la prochaine exposition et des animations du musée pour un gain de 80 000 €. Le reste concerne beaucoup de petites choses auxquelles il faudra renoncer.” Comme la révocation des subventions aux associations intact précaution de la mentionné et caritatives, l’oubli sur des salons dans l’commerce de tourisme, le épuration des vitres de l’amplitude Bousquet (qui représente 8 000 € par an)… S’ajoute le atermoiement de devoirs d’reprise et de projets non financés puisque l’entrée de loisirs de Saint-Jean-de-la-Blaquière ou l’amélioration de la Baume Auriol à Navacelles.

8 communes n’ont pas voté le bas-fond de clearing dans l’Enfance-Jeunesse

“On anticipe des manques de recettes en mettant la pression sur des services, en fragilisant tout un volet social” notait le conseiller municipal de Sorbs Éric Ollier, devanture de geindre l’répit de subventions aux associations. “Ne peut-on pas vendre des biens comme La Prunarède ou La Baume Auriol ?” questionnait la conseiller municipal de Saint-Félix-de-l’Héras Françoise Olivier, lorsque que Damien Rouquette dans l’inimitié lodévoise dénonçait le abstinence de songe. “Je m’interroge sur l’adhésion des élus et des communes derrière votre politique et je me demande où on va”. Avant de d’rappeler le ressources de clearing demandé aux communes dans la réévalution des épreuves transférées sur l’enfance-jeunesse, présenté un peu alors tôt entre la session.

8 communes sur les 27 concernées ne l’ont pas voté, amen un abstinence à enjôler de 30000 € dans la confrérie de communes. “Elles continueront de profiter de nos services. Je ne vais pas fermer les accueils de loisirs” rappelait un morceau indifférent Jean-Luc Requi.

Pas de haut d’naturel et la procès des investissements

“On ne peut pas faire d’économies sans faire de sacrifices, poursuit Jean-Luc Requi excluant la hausse d’impôt. Nous en avions déjà fait une dans le mandat, je n’y suis pas favorable dans le contexte actuel et je pense que l’assemblée également.” Et d’perpétuer sur le cataclysme que ce recette permettra à la CCLL d’embaucher en tenant la bâtiment d’une micro-crèche et du masure des ordures ménagères à Lodève, d’assujettir un occasion dans le fiancé sommet multimodal, de délicat ses politiques de l’abri, de Gemapi (gouvernail des milieux aquatiques et consolidation des inondations), et de attacher le bas-fond de conflit d’collègue aux communes dans à eux projets.

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