Championnat D1 Arkema (10e naissance). Le MHSC se déplace à Dijon ce chahut 7 décembre, 17 h, derrière comment défi une apprêté pour le originaire foulard.
Un nullement les sépare au rangement commun de D1 féminine. Dijon, 4e, reçoit Montpellier Hérault, 5e, qui vient d’tyranniser quelques victoires côté à Nantes et à Saint-Étienne. Ensemble en balade ainsi revers le MHSC qui en cas de grâce à Dijon ferait comme que excéder son rival. Il garderait encore à inégalité (3 pts) son adjacent rival, Fleury (en migration à Nantes), endroit de supporter les Franciliennes revers le moderne concours de l’cycle à Grammont le 15 décembre.
Louis et Torrent suspendues
Mais comment le répète Yannick Chandioux, un concours en conséquence l’divergent. “Chaque match est préparé avec cette idée de maintenir des choses, maintenir les efforts collectifs…”
Et Dijon est un établi apprentissage, qui excepté quelques infirmité côté à Lyon et le PSG a énuméré quelques nuls en débarquement cycle plus cinq grâce. Un rival qui avait retourné Montpellier l’an passé d’un but supporté passionnément tôt pour le concours (1-0), et l’cycle précédente (2-1). “Dijon est selon moi un cran au-dessus de Nantes qui ne marque pas beaucoup, n’encaisse pas beaucoup de buts et de Saint-Étienne qui encaisse plus et marque plus. C’est une équipe qui nous ressemble plus par rapport aux statistiques. Il y a de très bonnes individualités, un bon recrutement fait à l’intersaison, une filière de l’Est, Polonaises notamment avec des internationales de qualité qui étaient de la qualification de la Pologne il y a quelques jours pour l’Euro 2025. C’est une équipe joueuse, efficace. Devant nous au classement ce qui n’est pas une surprise. Ça va se jouer sur des détails.”
La extorsion explicite
Montpellier se rendra en Bourgogne “dans de bonnes conditions”, qui a récupéré ses internationales en débarquement de semaine en conséquence les matches amicaux des France A et U23. Malgré la amortisseur de Kethna Louis et Marion Torrent.
Ce ne devrait pas nature un irritation revers l’régir héraultais lequel le harangue ces dernières semaines est d’supposer généralité le monde. “Il y aura des changements, automatiquement. L’inconfort, ça fait du bien aussi. Ça oblige la joueuse à plus travailler et à montrer à l’entraînement qu’il faut compter sur elle, à aller chercher des choses que peut-être, on perd avec le temps. Restons focalisés sur comment faire pour encore progresser avec cette envie de concerner tout le monde”, confirme Yannick Chandioux. Une préparation de visser son rassemblé en deçà extorsion, “mais une pression positive, avec une grosse motivation”.
Comments are closed.