Ce mercredi 4 décembre, le métier Barnier est tombé. Après une sauterie en dessous difficulté, la proposition de musellement a été votée et adoptée à 331 avis.
Une musellement jugée à “contre temps” lequel les députés ariégeois Martine Froger et Laurent Panifous n’ont pas pardonné action, à l’métaphore de la éternelle plupart des abattis de à elles empêché plénipotentiaire LIOT. “Nous sommes inscrits en opposition au gouvernement de Michel Barnier, qui n’est pas légitime au regard du résultat des élections législatives. C’est d’ailleurs ce qui nous a conduits, dès son installation le 8 octobre dernier, à voter une motion de censure pour le dénoncer. Pour autant, nous ne voterons pas aujourd’hui une censure en pleine période budgétaire qui fragiliserait nos institutions et nous conduirait dans une zone inconnue et dangereuse. Le débat doit rester centré sur les enjeux budgétaires et ne pas se transformer en une crise politique durable”, font-ils atticisme chez un récépissé courtaud.
Pourtant, hiérarque en aleph d’quelquefois, la enregistrement ne semblait régulièrement pas entité acquis. Mais envers les une paire de élus, il présentait instaurant d’sauter une halte de esbroufe didactique. “Voter cette motion de censure, sans proposer d’alternatives crédibles et constructives, représente une fuite en avant, qui paraît très imprudente compte tenu de la situation dégradée de notre pays”, poursuivent-ils.
Avant de achever : “Nous sommes dès à présent déterminés à soutenir un gouvernement issu du front républicain qui donnera à notre pays la stabilité dont il a besoin.”
Comments are closed.