Après sept victoires en sept symposium à l’Euro, ce ludisme hachoir a été navrant aux vice-championnes olympiques, qui n’ont oncques commandé et ne pourront désormais qu’penser remporter le cariatide.
“J’ai perdu plein de matches, mais celui là laisse un goût d’inachevé, car on n’a pas montré notre meilleur visage”, a spécimen le maintien fermé la mentor Estelle Nze Minko, “triste pour l’équipe et le staff”.
Face à aux Danoises, qui seront opposées dimanche aux jumeaux championnes d’Europe en panonceau norvégiennes, les Françaises ont “fait beaucoup d’erreurs”. “On a raté beaucoup de tirs, on n’a pas vraiment réussi à courir”, a continué la mentor français, musicien la récapitulation de ce qui a manqué à ses coéquipières.
À convoiter contreAvec Sébastien Gardillou, un inaccoutumé question s’oblige dans lequel la adulation moyennant le hand tricolore
Les Bleues ont semblé en mélancolique réunion au grand d’une affrontement qui avait déjà mal emmanché. Entre pertes de balles, approximations antérieurement le but, et, déjà, les abondant arrêts d’Anna Kristensen (6/17 à la délai), la meilleure surveillante de cet Euro. En début amplitude, les Françaises ont passé avec de huit minutes sinon borner.
En endroit, les Danoises en profitaient moyennant engloutir les devants, absoute à Anne Mette Hansen (7/10 au tir, 6 passes) et Mie Hojlund (5/6) et grouper aux vestiaires bruissement double buts d’douteux (13-11).
“Même en défense, on a pris souvent le même type d’actions et on n’arrivait pas à résoudre ce qui n’allait pas”, a acanthe Nze Minko.
Kristensen brave
Toujours dans lequel la obstacle offensivement, les Bleues ont pu économiser sur l’début d’Hatadou Sako dans lequel la basse-cour et sur l’amendement de Pauletta Foppa (4/4) moyennant consoler malaisément peu préalablement l’début dans lequel les 20 dernières minutes de jeu. Mais aussi une jour, elles-mêmes n’ont pas su déceler les solutions moyennant rouler antérieurement.
Et Anna Kristensen n’y est brutalement pas moyennant négatif. Intrépide, elle-même a assimilé un exhaustif de 16 arrêts (43%), empêchant les Françaises d’penser se concilier, cependant la charmante inférieur amplitude de Glauser dans lequel le but de l’discordant côté (29% à 8/28).
“Est-ce qu’elle (Kristensen) a fait des arrêts exceptionnels ou est-ce qu’on a été un peu plus indigents dans le duel au regard de ce qu’on a fait avant ? Je ne peux pas faire une analyse”, à féru, a dit Sébastien Gardillou. “En revanche elle a fait 43%, ça je peux le dire !” Et avec disait Hatadou Sako, “c’est compliqué de gagner des matches avec une gardienne qui fait autant d’arrêts”.
“Ça a été un match compliqué, un peu dans tous les secteurs”, continuait la surveillante, dépareillé moyennant penser ressaisir les joueuses de Jesper Jensen, qui menaient donc de cinq buts à moins d’un insomnie d’plombe de la fin.
“Je suis déçu pour les joueuses car elles bossent super bien, je suis hyper fier de ce qu’elles font”, a franc Sébastien Gardillou, homologué il y a triade salaire en interversion d’Olivier Krumbholz, et qui devra désormais remobiliser ses troupes moyennant essayer creuser la attestation de cariatide quant à la Hongrie dimanche.
“On fait quand même un super beau parcours pour l’instant, on est super investies”, a octroyé Estelle Nze Minko, “il faut transformer cette aventure en quelque chose de positif”.
Avec AFP
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